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lundi 11 août 2014

La possession diabolique et son rôle dans les maladies: La dépression.



La possession diabolique et son rôle dans les maladies : la dépression.
Mes recherches personnelles après le suivi de quelques cas dépressifs sont complètement compatibles avec les recherches scientifiques dans le même cas. Sauf que la science n’admet pas que la possession diabolique a un rôle dans la dépression nerveuse alors que c’est vérifié dans la majorité des cas. Les symptômes ainsi que la guérison de personnes dépressives est une preuve assez solide pour admettre que la possession diabolique soit la cause de la majorité des cas dépressifs.
Comme pour d’autres maladies dues à la possession diabolique, le sujet est soumis à une manipulation mentale presque totale et un contrôle mental par le djinn possesseur, en plus du contrôle de l’humeur du possédé. Je vais présenter des cas guérissables et d’autres dans l’impossibilité de guérir mais dont l’état devient stable après la disparition de la cause diabolique. On peut diviser la dépression nerveuse en trois catégories :
-         Catégorie de gens dont la dépression est due à la possession diabolique.
-         Catégorie de gens dont la dépression est due à la consommation de psychotropes et drogues.
-         Catégorie de gens dont la dépression est due à la possession diabolique et à la consommation de drogues ou substances chimiques.
Ceux qui nous intéressent sont les gens dont la dépression est due à la possession diabolique. Dans ce cas, ces gens sont soumis à un contrôle total par le djinn sur tous les plans et deviennent des zombies surtout les gens cultivés et intellectuels. La dépression touche les femmes comme les  hommes de différents âges. La dépression dans la majorité des cas est périodique et limitée dans le temps. Elle peut varier entre un quart d’heure comme elle peut durer deux mois. Des facteurs dont la résistance physique et mentale de la personne entrent en jeu et déterminent l’état du possédé dépressif. La prise des psychotropes pour les cas dépressifs possédés ne les épaule pas à guérir, au contraire elle aide le djinn à mieux contrôler le possédé surtout si ce dernier est sous contrôle médical permanent. Etant donné que le possédé est sous manipulation mentale discrète car il ignore totalement qu’il l’est et croit que son comportement lui est propre alors que c’est le djinn qui lui dicte ses idées et le pousse à la prise continue de ces psychotropes et provoque la peur en lui en cas où il essaye de les abandonner. Cette manipulation est le facteur principal qui rend la guérison impossible ou la retarde. Etant donné que la dépression n’est pas permanente et qu’elle est périodique sauf cas rares, le dépressif possédé doit être isolé sans lui prescrire des psychotropes d’une façon permanente.
Comment le djinn provoque la dépression :   
La façon de posséder un dépressif est la même comme pour les autres cas. Comme je l’ai dit dans un autre article, le djinn ne possède pas tout le cerveau mais une partie, et c’est à partir de cette partie du cerveau qu’il agit sur le reste du cerveau et sur les organes du corps. Dans le cas de la dépression le djinn occupe la partie responsable de la régulation des neurotransmetteurs et par conséquence il contrôle l’humeur du possédé. Le djinn ne pénètre pas dans le cerveau proprement dit, mais son trajet prend fin là où prend fin la circulation sanguine. La présence du djinn dans cette partie du cerveau explique le changement de l’humeur du possédé. Comme pour les autres cas, le djinn ne peut posséder un humain infiniment, mais il y a des périodes de repos et de faiblesse où le djinn est toujours présent dans le cerveau du possédé et ne se manifeste que pendant des occasions précises. Socialement parlant un dépressif est considéré comme un malade mental et par conséquence sa vie est détruite et devient inapte à toute relation sociale ou fonction clé. Le djinn est en mission officielle et sa tache consiste à aider ou détruire le possédé. Dans le cas du dépressif, le fait qu’il lui provoque des dépressions quelque soit leur durée, cela l’emmène à l’isolement involontaire. Le djinn est là, il suffit qu’un évènement heureux arrive dans la vie du possédé pour qu’il se manifeste et lui provoque cette dépression pour induire son entourage en erreur et les éloigner de lui.
Le djinn se déplace dans le corps humain en se transformant en une cellule car sa composition le lui permet et suit un seul trajet dans la circulation sanguine jusqu’à ce qu’il arrive dans le cerveau. Ce trajet est il du à un hasard ou connu par le djinn, est une chose qui reste à déterminer. Dans le cas de la dépression, le djinn arrive jusqu’aux ventricules latéraux et inhibe la sécrétion de différents neurotransmetteurs.
Des recherches ont prouvé que cette partie du cerveau chez un dépressif est différente de celle chez un non dépressif mais incapables de donner une explication convaincante des causes de la dépression.
« Les clichés d'IRM de patients atteints de dépression montrent des différences structurelles cérébrales par rapport aux individus non-dépressifs. Des méta-analyses récentes montrent une augmentation du volume de leurs ventricules latéraux et de leur glande surrénale. Ces clichés montrent par contre une diminution de la taille des noyaux gris centraux, du thalamus, des hippocampes et des lobes frontaux, notamment les cortex orbitofrontaux et le gyrus rectu. Des hypersignaux ont été retrouvés chez des patients dont la dépression est apparue tardivement. Ceci a mené au développement de la théorie de la dépression vasculaire »
La théorie de la dépression vasculaire citée ici (source : wikipedia.org) n’explique pas la cause de la dépression. Mais elle donne au moins une idée de la différence entre un individu dépressif et un autre non dépressif. Cette différence est causée par la présence du djinn dans ces parties du cerveau. La présence du djinn est la présence d’une énergie qui agit sur cette partie, une énergie indétectable mais dont les conséquences sont détectables par les radios.
Rôle de la génétique dans la dépression :
Contrairement à ce que les scientifiques affirment au sujet du rôle de la génétique dans la dépression, celle-ci n’a pas de rôle direct, elle a un rôle indirect dans le cas d’une maladie mentale héréditaire. Dans ce cas, la maladie mentale ou une anomalie mentale sera un facteur qui accentue la dépression.
La dépression elle-même n’est pas héréditaire mais provoquée par des facteurs externes.
Rôle du djinn dans le traumatisme psychique :
Le choc ou le traumatisme psychique n’est pas toujours naturel. La présence du djinn dans le cerveau humain peut causer ce traumatisme. Le djinn n’attend que le moment propice pour se manifester violemment et causer des dégâts physiques et psychiques au possédé. Le moment propice peut être n’importe quel évènement qui peut être considéré par l’entourage du possédé et des médecins comme la cause directe de ce choc, et c’est à ce moment que le djinn se manifeste et provoque ce qu’on appelle un traumatisme psychique au possédé. Cet évènement va induire les médecins en erreur dans leur diagnostic.
Rôle du djinn dans la prise des psychotropes :
Le djinn n’est pas présent dans le cerveau du possédé par hasard mais il est en mission officielle qui consiste généralement soit à aider le possédé dans différentes taches dans sa vie ou le détruire. La pression exercée par le djinn sur le cerveau humain et spécialement sur la sécrétion du taux des monoamines conduit automatiquement le possédé à la dépression. Quand le possédé atteint cette phase la manipulation mentale entre en jeu de deux manières, l’une sur le plan personnel et l’autre sur le plan familial et de l’entourage du possédé. Le djinn va le pousser vers la psychiatrie par la répétition d’une seule idée dans son cerveau : il doit voir un médecin. Cette idée sera comme une pub. La résistance du possédé entre en jeu, et le djinn va actionner son entourage direct pour le pousser à consulter un psychiatre. La  prise des psychotropes par le possédé lui sera fatale sauf dans le cas d’une dépression due à la drogue ou aux substances de ce genre, dans ce dernier cas les psychotropes deviennent obligatoires.
La dépression elle-même n’est pas un problème puisque sa durée est limitée dans le temps.
La prise des psychotropes sera le but ultime recherché par le djinn pour détruire le possédé et l’envoyer vers l’asile psychiatrique, le possédé sera détruit physiquement, moralement et socialement.
Dans le cas de la dépression, le contrôle du possédé par le djinn est quasi-total. Dans la majorité des cas, le possédé sera transformé en zombie.
Peut être qu’il sera difficile de le croire, mais un djinn peut utiliser un possédé dépressif pour envoyer un mail sans que ce dernier s’en rende compte. Il peut parler à sa place et faire croire à son entourage que cet état est dû à sa maladie ce qui aggrave ses relations avec son entourage. La majorité des actes agressifs des possédés dépressifs sont involontaires. Le servage rend la guérison du possédé presque impossible surtout s’il ne respecte pas les consignes.
Cas soignés par la roqia :  
-         Homme âgé entre 20 et 30 ans : Cette personne est un militaire qui a été radié par mesure psychiatrique après trois ans de service. Il est devenu dépressif et son comportement a totalement changé ce qui lui a valu d’être considéré comme un malade mental. Les premières données qui j’ai recueillis m’ont prouvé qu’il se droguait durant son service. Il affirmait que son état est dû à un choc subi quand ses amis ont été assassinés par un groupe armé durant une embuscade. Mais il n’a pas continué à se soigner dans la vie civile ou prendre des psychotropes. Sa situation est stable malgré des périodes où son humeur change complètement. Mais le plus important ce sont des symptômes qui prouvent qu’il est possédé. C’est sur proposition de son père que j’ai accepté de lui faire une roqia malgré que j’étais sûr que son système nerveux soit touché d’une manière ou d’une autre à cause des psychotropes ou drogues consommés durant son service militaire.
Après la première séance qu’il a acceptée difficilement, il a erré dans la nature durant toute la nuit malgré les dangers.
Après la deuxième séance, il s’est dirigé vers un pont pour essayer de se suicider. Les symptômes relevés prouvaient qu’il était possédé en plus des psychotropes ou drogues qu’il consommés, la situation ne s’annonçait pas belle.
Après quelque temps son état est devenu stable malgré quelques périodes de dépression très courtes. Comme je l’ai dit, le problème du dépressif peut être résolu s’il est pris en charge par un organisme spécialisé. Mais à l’extérieur le rôle de la famille, de son entourage en général ne sera pas favorable à sa guérison et contribuera à sa détérioration surtout s’il est interné après une dépression même de très courte durée.
Il devait subir au moins quatre à cinq fois séances pour qu’il puisse trouver ses capacités mentales. Mais depuis il a refusé et son état s’est détérioré après une nette amélioration. Il est devenu incontrôlable et devait être mis sous surveillance médicale et la prise des médicaments est devenue permanente.
Le fait que son système cérébral soit touché à cause des drogues consommées, cela n’aide en aucune manière à sa guérison.
L’autre facteur c’est son incapacité de faire ses prières ou de lire ou d’écouter le Coran, car dans ce cas la prière et la lecture du Coran est primordiale pour un guérison sans dégâts.
-         Le deuxième cas, c’est un homme âgé de 26 ans, architecte. Cette personne était    dans un état normal, mais son père dont l’un des fils était malade a insisté pour qu’il soit soigné lui aussi. En plus d’être possédé, cette famille avait un problème mental héréditaire parce que l’un de ses membres était un malade mental déclaré. Toute personne qui peut l’approchait confirmerait qu’il est sain d’esprit. Après avoir suivi une séance de roqia, il a complètement changé de comportement et devenu très agressif au point d’avoir commis des dégâts dans le foyer de ses parents. Heureusement que ce n’était pas grave. Son langage soigné a laissé place à un langage vulgaire et ne cessait d’insulter ses voisins. En plus de s’isoler complètement et refuser tout contact avec les gens. J’ai conseillé à son père de ne pas lui administrer des médicaments, mais quand même un médecin lui a prescrit des calmants sous forme de gouttes mais sous contrôle de son père. Après un délai de quelques mois, il a retrouvé sa forme, mais refusait de faire ses prières et de lire le Coran. Après une deuxième séance, il a commis quelques dégâts comme la fois précédente. Après quelque temps il est retrouvé sa forme sans avoir rien pris comme psychotrope. Mais il a refusé de faire sa prière et de lire le Coran pourtant il était dans un état favorable. J’ai refusé de le soigner et je l’ai averti qu’il va chuter complètement et risquer de se trouver dans un état lamentable et permanent sous l’emprise du djinn et des psychotropes. Après un vingtaine de mois, il a fait une dépression grave et a son entourage était obligé de l’interner dans un hôpital psychiatrique et il est devenu accro aux psychotropes.
Explication de son comportement : En réalité il était possédé avant d’avoir suivi une séance de roqia. Mais sa possession était cachée parce que sur le plan religion il n’était pas un fervent pratiquant et ne lisait que très peu de Coran ou pas du tout. Aucun symptôme de la dépression ou autre n’est apparu sur lui. Le djinn occupait complètement son cerveau et par conséquence contrôlait son système cérébral. La roqia a fait bouger le djinn dans son cerveau. Ils sont devenus deux personnes. Le djinn ne pouvait plus occuper son cerveau et oscillait en lui. Cette oscillation a fait qu’il est devenu dépressif. Cette situation a duré quelque temps et l’effet de la roqia a pris le dessus, le djinn ne pouvait plus le contrôler complètement et il a quitté son corps, il ne le manipulait que rarement pendant quelque minutes chaque jour. Son refus de faire sa prière en son temps exact surtout le Fajr et lire le Coran  a fait que la roqia a perdu son effet après une vingtaine de mois par manque d’apport d’énergie. Le djinn qui était toujours là a eu l’occasion de le posséder une deuxième fois et d’une façon brutale ce qui lui a provoqué une grande dépression. Son entêtement lui a coûté cher et il est aujourd’hui sous l’effet permanent des psychotropes chose qu’il pouvait éviter s’il a suivi les conseils. Pourtant le résultat était là, il était en parfaite forme et pouvait garder cette forme éternellement.
La dépression dans ce cas n’est que la manifestation du djinn après avoir bougé sous l’effet de la roqia.
-         Cas guéri : C’est une fille âgée de plus de vingt ans. Sa dépression n’est apparue qu’après avoir fait la roqia, mais d’autres symptômes ont montré qu’elle était possédée et sous l’emprise totale du djinn. Le djinn s’est manifesté directement et lui adressait la parole à travers son cerveau. Il essayait de la manipuler par différents moyens dont la peur, le mensonge, les provocations et l’intimidation. J’étais là pour lui expliquer le phénomène ce qui la rassurait et l’encourageait.
En plus de la roqia, elle buvait en permanence l’eau dans lequel est lu le Coran. Elle essuyait son corps avec l’huile d’olives pendant presque un mois. Elle écoutait le Coran avec des écouteurs pendant plus d’un mois. Son état s’améliorait au fur et à mesure qu’elle écoutait le Coran et le lisait. Après quelques mois, elle est complètement guérie. Elle n’entendait plus la voix du djinn, elle a retrouvé sa forme initiale et son cerveau est libéré de toute contrainte.
Sa guérison est passée par plusieurs phases. Le djinn a essayé de la manipuler durant l’écoute du Coran en criant à sa place, elle criait très fort. Elle écoutait le Coran pendant des heures sans repos. Elle n’arrêtait pas de vomir presque chaque jour, elle vomissait des crachats de différentes couleurs pendant au moins quatre mois sous l’effet de l’écoute du Coran.  
Quel est le secret derrière l’eau et l’huile  dans lesquelles on lit le Coran : L’huile d’olives dans laquelle on récitait le Coran, a prouvé par expérience  son efficacité. On boit une cuillère à jeûne chaque jour pendant quatre à six mois et on essuyait tout le corps y compris la tête chaque soir. L’huile d’olives dans ce cas a un grand effet sur le djinn, il ne supporte pas ni dans le corps ni sur la peau. Le possédé essuie son corps avec l’huile jusqu’à ce qu’il observe que sa peau absorbe cette  huile. Les premiers jours le possédé va s’apercevoir que l’huile ne pénètre pas dans sa peau, mais après quelques jours sa peau commence à l’absorber. L’huile en pénétrant la peau empêche le djinn de se propager à travers la peau et y séjourner. Le corps humain est composé de 70% d’eau. Boire l’eau de cette façon changera complètement la nature du corps en empêchant le djinn de se déplacer librement dans le corps et de l’occuper, son champ de manœuvre sera très réduit ce qui libère le corps du possédé.
Dans le cas de cette fille le djinn occupait coté gauche de son corps, elle remarque une nette différence entre les deux cotés de son corps. Son coté gauche est trop lourd par rapport à son coté droit. Cette lourdeur a disparu après sa guérison, mais les séquelles sont restées. Chaque fois que le djinn essaye de monter vers son cerveau pour quelque secondes pour lui jeter une idée et disparaître parce qu’il ne pouvait plus la possédait en permanence, elle sent que son coté gauche s’alourdit et puis se relâchait. Les symptômes dans ce cas sont les presque les mêmes que dans le cas de la possession en général sauf quelques exceptions.
Il n’existe pas de guérison à cent pour cent, les séquelles seront toujours présentes surtout les séquelles psychiques.
La guérison du corps se fait avant celle du cerveau. Le Coran faiblit le djinn ce qui libère le corps et chaque jour une petite partie du corps guérit jusqu’à sa guérison totale. La dernière phase sera la guérison du cerveau et le djinn n’aura plus la possibilité de le contrôler et c’est à moment que le possédé sera libéré. 
Il y a des dépressifs qui peuvent lire le Coran et faire leur prière même difficilement, mais il y a d’autres qui sont dans l’impossibilité de lire ou de faire la prière. Plusieurs facteurs entrent en jeu dont l’hérédité, la résistance et l’entourage.
Le djinn s’éclipse quand il réussit à pousser le possédé vers les psychotropes. Les adolescents, les bornés et les snobs quelque soit leur âge sont les plus faciles à manipuler. Dans le cas de résistance du possédé le djinn essaye de l’orienter vers l’alcool ou la drogue. S’il réussit le possédé devient une cible facile surtout s’il devient accro. S’il ne réussit pas à le manipuler par le mal il change de tactique en le manipulant par le bien pour l’induire en erreur et le pousser à commettre le mal par le bien.
Durant la période de soins du possédé, la prière du Fajr est primordiale et obligatoire, en plus des dikrs après les prières et la lecture ou l’écoute du Coran.  
Il sera impossible pour le djinn de manipuler un musulman qui fait sa prière du FAJR en groupe à la moquée. Pour l’empêcher de se lever pour la prière du FAJR le djinn possède plusieurs moyens et tactiques à commencer par les rêves érotiques et en le poussant à rester éveillé  jusqu’à une heure tardive. Le djinn et surtout en hiver, projette des scènes érotiques dans le cerveau du possédé pendant plusieurs nuits successives ce qui fatigue le possédé car il est obligé de se doucher chaque matin tôt. Le possédé doit résister car le djinn n’aura pas la capacité de poursuivre cette projection et il sera obligé devant la persévérance du possédé à changer de tactique, elles sont nombreuses et le djinn est infatigable quant à l’invention de nouvelles manipulations.
La guérison du possédé n’est pas simplement physique et psychique, mais social aussi. Le rôle du djinn est de fermer toutes les portes devant le possédé. Il œuvre en groupe et jamais individuellement. La guérison du possédé l’empêche de le manipuler et d’être au courant de ses projets. Le secret du possédé sera l’arme principale contre le djinn. Ce dernier ne peut être au courant du projet du possédé que s’il en parle ou l’écrit. Dans ce cas le djinn aura la possibilité de freiner son exécution avec la coopération de ses semblables.