La possession diabolique et son rôle dans les maladies : la
dépression.
Mes
recherches personnelles après le suivi de quelques cas dépressifs sont
complètement compatibles avec les recherches scientifiques dans le même cas.
Sauf que la science n’admet pas que la possession diabolique a un rôle dans la
dépression nerveuse alors que c’est vérifié dans la majorité des cas. Les
symptômes ainsi que la guérison de personnes dépressives est une preuve assez
solide pour admettre que la possession diabolique soit la cause de la majorité
des cas dépressifs.
Comme
pour d’autres maladies dues à la possession diabolique, le sujet est soumis à
une manipulation mentale presque totale et un contrôle mental par le djinn
possesseur, en plus du contrôle de l’humeur du possédé. Je vais présenter des
cas guérissables et d’autres dans l’impossibilité de guérir mais dont l’état
devient stable après la disparition de la cause diabolique. On peut diviser la
dépression nerveuse en trois catégories :
-
Catégorie
de gens dont la dépression est due à la possession diabolique.
-
Catégorie
de gens dont la dépression est due à la consommation de psychotropes et
drogues.
-
Catégorie
de gens dont la dépression est due à la possession diabolique et à la
consommation de drogues ou substances chimiques.
Ceux
qui nous intéressent sont les gens dont la dépression est due à la possession
diabolique. Dans ce cas, ces gens sont soumis à un contrôle total par le djinn
sur tous les plans et deviennent des zombies surtout les gens cultivés et intellectuels.
La dépression touche les femmes comme les
hommes de différents âges. La dépression dans la majorité des cas est
périodique et limitée dans le temps. Elle peut varier entre un quart d’heure
comme elle peut durer deux mois. Des facteurs dont la résistance physique et
mentale de la personne entrent en jeu et déterminent l’état du possédé
dépressif. La prise des psychotropes pour les cas dépressifs possédés ne les
épaule pas à guérir, au contraire elle aide le djinn à mieux contrôler le
possédé surtout si ce dernier est sous contrôle médical permanent. Etant donné
que le possédé est sous manipulation mentale discrète car il ignore totalement
qu’il l’est et croit que son comportement lui est propre alors que c’est le
djinn qui lui dicte ses idées et le pousse à la prise continue de ces
psychotropes et provoque la peur en lui en cas où il essaye de les abandonner.
Cette manipulation est le facteur principal qui rend la guérison impossible ou
la retarde. Etant donné que la dépression n’est pas permanente et qu’elle est
périodique sauf cas rares, le dépressif possédé doit être isolé sans lui
prescrire des psychotropes d’une façon permanente.
Comment le djinn provoque la dépression :
La
façon de posséder un dépressif est la même comme pour les autres cas. Comme je
l’ai dit dans un autre article, le djinn ne possède pas tout le cerveau mais
une partie, et c’est à partir de cette partie du cerveau qu’il agit sur le
reste du cerveau et sur les organes du corps. Dans le cas de la dépression le
djinn occupe la partie responsable de la régulation des neurotransmetteurs et
par conséquence il contrôle l’humeur du possédé. Le djinn ne pénètre pas dans
le cerveau proprement dit, mais son trajet prend fin là où prend fin la
circulation sanguine. La présence du djinn dans cette partie du cerveau
explique le changement de l’humeur du possédé. Comme pour les autres cas, le
djinn ne peut posséder un humain infiniment, mais il y a des périodes de repos
et de faiblesse où le djinn est toujours présent dans le cerveau du possédé et
ne se manifeste que pendant des occasions précises. Socialement parlant un
dépressif est considéré comme un malade mental et par conséquence sa vie est
détruite et devient inapte à toute relation sociale ou fonction clé. Le djinn
est en mission officielle et sa tache consiste à aider ou détruire le possédé.
Dans le cas du dépressif, le fait qu’il lui provoque des dépressions quelque
soit leur durée, cela l’emmène à l’isolement involontaire. Le djinn est là, il
suffit qu’un évènement heureux arrive dans la vie du possédé pour qu’il se
manifeste et lui provoque cette dépression pour induire son entourage en erreur
et les éloigner de lui.
Le
djinn se déplace dans le corps humain en se transformant en une cellule car sa
composition le lui permet et suit un seul trajet dans la circulation sanguine
jusqu’à ce qu’il arrive dans le cerveau. Ce trajet est il du à un hasard ou
connu par le djinn, est une chose qui reste à déterminer. Dans le cas de la
dépression, le djinn arrive jusqu’aux ventricules latéraux et inhibe la
sécrétion de différents neurotransmetteurs.
Des
recherches ont prouvé que cette partie du cerveau chez un dépressif est
différente de celle chez un non dépressif mais incapables de donner une
explication convaincante des causes de la dépression.
«
Les clichés
d'IRM de patients atteints de dépression montrent des différences
structurelles cérébrales par rapport aux individus non-dépressifs. Des
méta-analyses récentes montrent une augmentation du volume de leurs ventricules latéraux
et de leur glande surrénale.
Ces clichés montrent par contre une diminution de la taille des noyaux gris
centraux, du thalamus, des hippocampes
et des lobes frontaux, notamment les cortex
orbitofrontaux et le gyrus rectu. Des hypersignaux
ont été retrouvés chez des patients dont la dépression est apparue tardivement.
Ceci a mené au développement de la théorie de la dépression
vasculaire »
La
théorie de la dépression vasculaire citée ici (source : wikipedia.org)
n’explique pas la cause de la dépression. Mais elle donne au moins une idée de
la différence entre un individu dépressif et un autre non dépressif. Cette
différence est causée par la présence du djinn dans ces parties du cerveau. La
présence du djinn est la présence d’une énergie qui agit sur cette partie, une
énergie indétectable mais dont les conséquences sont détectables par les
radios.
Rôle de la génétique dans la dépression :
Contrairement
à ce que les scientifiques affirment au sujet du rôle de la génétique dans la
dépression, celle-ci n’a pas de rôle direct, elle a un rôle indirect dans le
cas d’une maladie mentale héréditaire. Dans ce cas, la maladie mentale ou une
anomalie mentale sera un facteur qui accentue la dépression.
La
dépression elle-même n’est pas héréditaire mais provoquée par des facteurs
externes.
Rôle du djinn dans le traumatisme psychique :
Le
choc ou le traumatisme psychique n’est pas toujours naturel. La présence du
djinn dans le cerveau humain peut causer ce traumatisme. Le djinn n’attend que
le moment propice pour se manifester violemment et causer des dégâts physiques
et psychiques au possédé. Le moment propice peut être n’importe quel évènement
qui peut être considéré par l’entourage du possédé et des médecins comme la
cause directe de ce choc, et c’est à ce moment que le djinn se manifeste et
provoque ce qu’on appelle un traumatisme psychique au possédé. Cet évènement va
induire les médecins en erreur dans leur diagnostic.
Rôle du djinn dans la prise des psychotropes :
Le
djinn n’est pas présent dans le cerveau du possédé par hasard mais il est en
mission officielle qui consiste généralement soit à aider le possédé dans
différentes taches dans sa vie ou le détruire. La pression exercée par le djinn
sur le cerveau humain et spécialement sur la sécrétion du taux des monoamines
conduit automatiquement le possédé à la dépression. Quand le possédé atteint
cette phase la manipulation mentale entre en jeu de deux manières, l’une sur le
plan personnel et l’autre sur le plan familial et de l’entourage du possédé. Le
djinn va le pousser vers la psychiatrie par la répétition d’une seule idée dans
son cerveau : il doit voir un médecin. Cette idée sera comme une pub. La
résistance du possédé entre en jeu, et le djinn va actionner son entourage
direct pour le pousser à consulter un psychiatre. La prise des psychotropes par le possédé lui
sera fatale sauf dans le cas d’une dépression due à la drogue ou aux substances
de ce genre, dans ce dernier cas les psychotropes deviennent obligatoires.
La
dépression elle-même n’est pas un problème puisque sa durée est limitée dans le
temps.
La
prise des psychotropes sera le but ultime recherché par le djinn pour détruire
le possédé et l’envoyer vers l’asile psychiatrique, le possédé sera détruit
physiquement, moralement et socialement.
Dans
le cas de la dépression, le contrôle du possédé par le djinn est quasi-total.
Dans la majorité des cas, le possédé sera transformé en zombie.
Peut
être qu’il sera difficile de le croire, mais un djinn peut utiliser un possédé
dépressif pour envoyer un mail sans que ce dernier s’en rende compte. Il peut
parler à sa place et faire croire à son entourage que cet état est dû à sa
maladie ce qui aggrave ses relations avec son entourage. La majorité des actes
agressifs des possédés dépressifs sont involontaires. Le servage rend la
guérison du possédé presque impossible surtout s’il ne respecte pas les
consignes.
Cas soignés par la roqia :
-
Homme
âgé entre 20 et 30 ans : Cette personne est un militaire qui a été radié
par mesure psychiatrique après trois ans de service. Il est devenu dépressif et
son comportement a totalement changé ce qui lui a valu d’être considéré comme
un malade mental. Les premières données qui j’ai recueillis m’ont prouvé qu’il
se droguait durant son service. Il affirmait que son état est dû à un choc subi
quand ses amis ont été assassinés par un groupe armé durant une embuscade. Mais
il n’a pas continué à se soigner dans la vie civile ou prendre des psychotropes.
Sa situation est stable malgré des périodes où son humeur change complètement.
Mais le plus important ce sont des symptômes qui prouvent qu’il est possédé. C’est
sur proposition de son père que j’ai accepté de lui faire une roqia malgré que
j’étais sûr que son système nerveux soit touché d’une manière ou d’une autre à
cause des psychotropes ou drogues consommés durant son service militaire.
Après la première séance qu’il a acceptée
difficilement, il a erré dans la nature durant toute la nuit malgré les
dangers.
Après la deuxième séance, il s’est dirigé vers un pont
pour essayer de se suicider. Les symptômes relevés prouvaient qu’il était
possédé en plus des psychotropes ou drogues qu’il consommés, la situation ne
s’annonçait pas belle.
Après quelque temps son état est devenu stable malgré
quelques périodes de dépression très courtes. Comme je l’ai dit, le problème du
dépressif peut être résolu s’il est pris en charge par un organisme spécialisé.
Mais à l’extérieur le rôle de la famille, de son entourage en général ne sera
pas favorable à sa guérison et contribuera à sa détérioration surtout s’il est
interné après une dépression même de très courte durée.
Il devait subir au moins quatre à cinq fois séances
pour qu’il puisse trouver ses capacités mentales. Mais depuis il a refusé et
son état s’est détérioré après une nette amélioration. Il est devenu
incontrôlable et devait être mis sous surveillance médicale et la prise des
médicaments est devenue permanente.
Le fait que son système cérébral soit touché à cause
des drogues consommées, cela n’aide en aucune manière à sa guérison.
L’autre facteur c’est son incapacité de faire ses
prières ou de lire ou d’écouter le Coran, car dans ce cas la prière et la
lecture du Coran est primordiale pour un guérison sans dégâts.
-
Le
deuxième cas, c’est un homme âgé de 26 ans, architecte. Cette personne
était dans un état normal, mais son
père dont l’un des fils était malade a insisté pour qu’il soit soigné lui
aussi. En plus d’être possédé, cette famille avait un problème mental
héréditaire parce que l’un de ses membres était un malade mental déclaré. Toute
personne qui peut l’approchait confirmerait qu’il est sain d’esprit. Après
avoir suivi une séance de roqia, il a complètement changé de comportement et
devenu très agressif au point d’avoir commis des dégâts dans le foyer de ses
parents. Heureusement que ce n’était pas grave. Son langage soigné a laissé
place à un langage vulgaire et ne cessait d’insulter ses voisins. En plus de
s’isoler complètement et refuser tout contact avec les gens. J’ai conseillé à
son père de ne pas lui administrer des médicaments, mais quand même un médecin
lui a prescrit des calmants sous forme de gouttes mais sous contrôle de son
père. Après un délai de quelques mois, il a retrouvé sa forme, mais refusait de
faire ses prières et de lire le Coran. Après une deuxième séance, il a commis
quelques dégâts comme la fois précédente. Après quelque temps il est retrouvé
sa forme sans avoir rien pris comme psychotrope. Mais il a refusé de faire sa
prière et de lire le Coran pourtant il était dans un état favorable. J’ai
refusé de le soigner et je l’ai averti qu’il va chuter complètement et risquer
de se trouver dans un état lamentable et permanent sous l’emprise du djinn et
des psychotropes. Après un vingtaine de mois, il a fait une dépression grave et
a son entourage était obligé de l’interner dans un hôpital psychiatrique et il
est devenu accro aux psychotropes.
Explication de son comportement : En réalité
il était possédé avant d’avoir suivi une séance de roqia. Mais sa possession
était cachée parce que sur le plan religion il n’était pas un fervent
pratiquant et ne lisait que très peu de Coran ou pas du tout. Aucun symptôme de
la dépression ou autre n’est apparu sur lui. Le djinn occupait complètement son
cerveau et par conséquence contrôlait son système cérébral. La roqia a fait
bouger le djinn dans son cerveau. Ils sont devenus deux personnes. Le djinn ne
pouvait plus occuper son cerveau et oscillait en lui. Cette oscillation a fait
qu’il est devenu dépressif. Cette situation a duré quelque temps et l’effet de
la roqia a pris le dessus, le djinn ne pouvait plus le contrôler complètement
et il a quitté son corps, il ne le manipulait que rarement pendant quelque
minutes chaque jour. Son refus de faire sa prière en son temps exact surtout le
Fajr et lire le Coran a fait que la
roqia a perdu son effet après une vingtaine de mois par manque d’apport
d’énergie. Le djinn qui était toujours là a eu l’occasion de le posséder une
deuxième fois et d’une façon brutale ce qui lui a provoqué une grande
dépression. Son entêtement lui a coûté cher et il est aujourd’hui sous l’effet
permanent des psychotropes chose qu’il pouvait éviter s’il a suivi les
conseils. Pourtant le résultat était là, il était en parfaite forme et pouvait
garder cette forme éternellement.
La dépression dans ce cas n’est que la manifestation
du djinn après avoir bougé sous l’effet de la roqia.
-
Cas guéri : C’est une fille âgée de plus de vingt ans. Sa dépression n’est apparue
qu’après avoir fait la roqia, mais d’autres symptômes ont montré qu’elle était
possédée et sous l’emprise totale du djinn. Le djinn s’est manifesté
directement et lui adressait la parole à travers son cerveau. Il essayait de la
manipuler par différents moyens dont la peur, le mensonge, les provocations et
l’intimidation. J’étais là pour lui expliquer le phénomène ce qui la rassurait
et l’encourageait.
En plus de la roqia, elle buvait en permanence l’eau
dans lequel est lu le Coran. Elle essuyait son corps avec l’huile d’olives
pendant presque un mois. Elle écoutait le Coran avec des écouteurs pendant plus
d’un mois. Son état s’améliorait au fur et à mesure qu’elle écoutait le Coran
et le lisait. Après quelques mois, elle est complètement guérie. Elle
n’entendait plus la voix du djinn, elle a retrouvé sa forme initiale et son
cerveau est libéré de toute contrainte.
Sa guérison est passée par plusieurs phases. Le djinn
a essayé de la manipuler durant l’écoute du Coran en criant à sa place, elle
criait très fort. Elle écoutait le Coran pendant des heures sans repos. Elle
n’arrêtait pas de vomir presque chaque jour, elle vomissait des crachats de
différentes couleurs pendant au moins quatre mois sous l’effet de l’écoute du
Coran.
Quel est le secret derrière l’eau et l’huile dans lesquelles on lit le Coran : L’huile
d’olives dans laquelle on récitait le Coran, a prouvé par expérience son efficacité. On boit une cuillère à jeûne
chaque jour pendant quatre à six mois et on essuyait tout le corps y compris la
tête chaque soir. L’huile d’olives dans ce cas a un grand effet sur le djinn,
il ne supporte pas ni dans le corps ni sur la peau. Le possédé essuie son corps
avec l’huile jusqu’à ce qu’il observe que sa peau absorbe cette huile. Les premiers jours le possédé va
s’apercevoir que l’huile ne pénètre pas dans sa peau, mais après quelques jours
sa peau commence à l’absorber. L’huile en pénétrant la peau empêche le djinn de
se propager à travers la peau et y séjourner. Le corps humain est composé de
70% d’eau. Boire l’eau de cette façon changera complètement la nature du corps
en empêchant le djinn de se déplacer librement dans le corps et de l’occuper,
son champ de manœuvre sera très réduit ce qui libère le corps du possédé.
Dans le cas de cette fille le djinn occupait coté
gauche de son corps, elle remarque une nette différence entre les deux cotés de
son corps. Son coté gauche est trop lourd par rapport à son coté droit. Cette
lourdeur a disparu après sa guérison, mais les séquelles sont restées. Chaque
fois que le djinn essaye de monter vers son cerveau pour quelque secondes pour
lui jeter une idée et disparaître parce qu’il ne pouvait plus la possédait en
permanence, elle sent que son coté gauche s’alourdit et puis se relâchait. Les
symptômes dans ce cas sont les presque les mêmes que dans le cas de la
possession en général sauf quelques exceptions.
Il n’existe pas de guérison à cent pour cent, les
séquelles seront toujours présentes surtout les séquelles psychiques.
La guérison du corps se fait avant celle du cerveau.
Le Coran faiblit le djinn ce qui libère le corps et chaque jour une petite
partie du corps guérit jusqu’à sa guérison totale. La dernière phase sera la
guérison du cerveau et le djinn n’aura plus la possibilité de le contrôler et c’est
à moment que le possédé sera libéré.
Il y a des dépressifs qui peuvent lire le Coran et
faire leur prière même difficilement, mais il y a d’autres qui sont dans
l’impossibilité de lire ou de faire la prière. Plusieurs facteurs entrent en
jeu dont l’hérédité, la résistance et l’entourage.
Le djinn s’éclipse quand il réussit à pousser le
possédé vers les psychotropes. Les adolescents, les bornés et les snobs quelque
soit leur âge sont les plus faciles à manipuler. Dans le cas de résistance du
possédé le djinn essaye de l’orienter vers l’alcool ou la drogue. S’il réussit
le possédé devient une cible facile surtout s’il devient accro. S’il ne réussit
pas à le manipuler par le mal il change de tactique en le manipulant par le
bien pour l’induire en erreur et le pousser à commettre le mal par le bien.
Durant la période de soins du possédé,
la prière du Fajr est primordiale et obligatoire, en plus des dikrs après les
prières et la lecture ou l’écoute du Coran.
Il sera impossible pour le djinn de manipuler un
musulman qui fait sa prière du FAJR en groupe à la moquée. Pour l’empêcher de
se lever pour la prière du FAJR le djinn possède plusieurs moyens et tactiques
à commencer par les rêves érotiques et en le poussant à rester éveillé jusqu’à une heure tardive. Le djinn et
surtout en hiver, projette des scènes érotiques dans le cerveau du possédé
pendant plusieurs nuits successives ce qui fatigue le possédé car il est obligé
de se doucher chaque matin tôt. Le possédé doit résister car le djinn n’aura
pas la capacité de poursuivre cette projection et il sera obligé devant la
persévérance du possédé à changer de tactique, elles sont nombreuses et le
djinn est infatigable quant à l’invention de nouvelles manipulations.
La guérison du possédé n’est pas simplement physique
et psychique, mais social aussi. Le rôle du djinn est de fermer toutes les
portes devant le possédé. Il œuvre en groupe et jamais individuellement. La
guérison du possédé l’empêche de le manipuler et d’être au courant de ses
projets. Le secret du possédé sera l’arme principale contre le djinn. Ce
dernier ne peut être au courant du projet du possédé que s’il en parle ou
l’écrit. Dans ce cas le djinn aura la possibilité de freiner son exécution avec
la coopération de ses semblables.