Je
vais me baser sur ce cas soigné et guéri, avec la permission de Allah, par la
roqia pour étudier l'épilepsie entre la possession et la maladie, ou la
religion et la science. Même si certains s'octroient le nom de guérisseur, il
reste que seul DIEU guérit et personne d'autre. L'homme ne fait que soigner,
même s'il possède le pouvoir de guérison comme Jésus que le salut soit sur lui
ou les autres prophètes, il ne doit pas se vanter, mais il dit toujours que ce
qu'il fait ne le fait qu'avec la permission de DIEU, Il est l'unique
guérisseur. Ce cas est musulman. Je n'ai jamais soigné de non musulmans. Peut
être que j'aurai l'occasion de le faire, mais je ne peux rien confirmer à leur
sujet pour l'instant. En attendant d'analyser ce cas et faire des déductions
qui ne vont sûrement pas plaire à certains, surtout à l'industrie
pharmaceutique, je vais raconter l'histoire de cette épileptique.
Elle
décrit sa maladie comme suite :
Quand
j’avais l’âge de 18 ans, étudiante en terminal, comme d’habitude en rentrant
chez moi du lycée, j’étais assise devant ma table d’écolière pour faire mes
devoirs quand tout d’un coup je n’arrivais plus à respirer, comme si quelqu’un
essaye de m’étouffer. Les boutons de ma robe de jeans se serraient, j’ai senti
une grande force à l’intérieur de mon corps et d’un seul coup j’ai renversé la
table avec tout ce qu’il y a dessus. J’ai chuté par terre, j’ai senti comme si
mes artères au niveau de ma nuque se bouchaient complètement. Une grande
pression dans ma tête, tous les muscles de mon corps se contractaient et je
refusais à ce qu’on me touche. C’était ma première crise. Après une courte
durée j’ai senti mon corps se refroidir. Il a fallu plusieurs couvertures pour
me réchauffer. Après quelque temps je me suis réveillée comme si rien ne
s’était passé. Cet évènement est devenu quotidien à la même heure de la
journée. J’ai constaté après que je ne supportais pas la lumière. Ma famille
était obligée de m’évacuer aux urgences. Je pouvais entendre tout ce qui se
passait autour de moi. Le médecin était abasourdi en appuyant sur mes yeux avec
force sans que je réagisse. On m’a prescrit le traitement nécessaire, ces
crises sont devenues fréquentes. Le premier généraliste m’a prescrit des
médicaments en m’informant que c’était simplement de la fatigue. Depuis, ma vie
a commencé à changer. Je préférais m’assoire dans le noir, je suis devenue
comme un ivrogne en classe. Ces crises ont changé d’horaire pour survenir
chaque vendredi à midi. J’ai perdu toute concentration. Des maux de tête
permanents. A signaler qu’après chaque crise, quand je fermais les yeux je
voyais comme des femmes qui voulaient me tuer. Je pouvais observer les formes
dans le noir. J’ai perdu la notion de la peur. Je pouvais me déplacer dans le
noir au point que je suis devenue le guide des étudiantes au niveau de l’école
paramédicale. Malgré ces crises j’ai réussi à avoir mon bac. J’ai été orientée
vers l’école paramédicale d’où j’ai obtenu mon diplôme d’assistante
sociale. J’ai eu des crises durant mon
séjour au niveau de cette école, et une fois j’étais obligée de rester au lit
pendant deux semaines pour prendre les médicaments que le médecin m’a
prescrits. Depuis ces crises j’ai constaté que mes intestins se gonflaient
aussi. Je pouvais savoir que je vais avoir une crise, car je devenais nerveuse
et je commençais à perdre le souffle.
J’étais
obligée de contacter un neurologue, un EEG qui n’a rien décelé d’anormal
d’après le neurologue. Des médicaments qui m’ont permis de continuer mes
études, mais qui n’ont rien apporter de positif à ma santé. Depuis ma première
crise au deuxième trimestre de l’an 1998 je n’ai pas cessé de vomir. Maintenant
nous sommes en été 2006. En tant que musulmane je faisais régulièrement mes
prières, mais je n’arrivais pas à lire le Coran à cause des maux de tête. A
noter que je refusais après de prendre les médicaments et les crises
continuaient sans cesse.
A
noter qu’avant d’avoir ma première crise, j’ai prêté ma robe de jeans à l’une
de mes amies étudiantes. Quand elle me la rendue après quelques jours, elle
était lavée et repassée. Dès que je l’ai mise, mon comportement a brusquement
changé.
Traitement :
Comme
j’ai dit, nous sommes en été 2006. Cette personne a eu sa première crise en
1998.
Aujourd’hui,
cette personne était assise devant la télé, entrain d’écouter la récitation du
Coran, quand elle a commencé à sentir ses jambes devenir lourdes. Elle a eu du
mal à se lever. Je lui ai conseillé d’arrêter de suivre les émissions
coraniques en attendant que je m’assure de ce qu’il lui arrive.
Comme
elle faisait partie du corps paramédical et par la nature de sa formation, son
caractère, les examens médicaux et les confirmations des médecins qu’elle
restera épileptique à vie, il était difficile de la convaincre de suivre un
traitement que j’utilisais généralement pour personnes ensorcelées.
Dans
le cas des personnes ensorcelées, j’utilisais de l’eau dans laquelle je lisais
le Coran. Après maintes reprises, j’ai réussi à lui faire avaler un verre de
cette eau. J’observais sa réaction, quand tout d’un coup l’eau fut
éjectée. Elle commença à douter.
J’ai
lu quelques versets en posant mes lèvres sur son oreille, elle commence à
verser des larmes. Elle m’a informé qu’elle pleurait involontairement et
qu’elle n’entendait pas le Coran. Elle sentait le vide dans sa tête. Elle
sentait que son corps est vide. Elle accepta enfin que je lui fasse une Roqia.
Ma
manière de faire la roqia consiste à ce que le patient s’allonge sur son dos,
je m’assoie à la hauteur de sa tête, je pose ma main droite ou mes deux mains
sur son front et je commence à lire le Coran.
Après
avoir terminé de lire j’ai fait les observations suivantes :
1- Fatigue totale du coté gauche du
corps.
2- Une chaleur superficielle le long de
son dos et le reste du dessous de son corps.
3- Fourmillements sur la peau au niveau
du visage, la poitrine, les bras et le reste du corps.
4- Elle m’a informé qu’elle a senti une
silhouette qui recouvre son corps.
Elle
présentait les mêmes symptômes des personnes ensorcelées.
Elle
était obligée de prendre son congé pour se libérer complètement au traitement.
J’ai
établi un programme qui consiste au début d’écouter le Coran, puisqu’elle ne
pouvait pas lire à cause de ses maux de tête dont elle souffrait depuis le
commencement de cette maladie en 1998.
Après
quelques jours les maux de tête commençaient à disparaître, et elle pouvait
lire le Coran.
En
plus de la lecture, elle se basait sur l’audio. Elle ne buvait que de l’eau
dans laquelle je lisais le Coran.
Avant
de dormir elle essuyait son corps avec de l’huile d’olives dans laquelle je
lisais le Coran aussi. Elle en buvait une cuillère chaque matin à jeûne.
J’utilisais le miel aussi dans lequel je lisais le Coran, elle prenait une
cuillère chaque matin à jeûne et une autre le soir avant de dormir. En plus
elle prenait une cuillère à café de l’huile de nigelle.
Ce
traitement dura un mois sans interruption.
Elle
sentait des fourmillements quelques fois sur sa peau, quand elle les lavait
avec de l’eau dans laquelle je lisais le Coran ces fourmillements
disparaissaient.
Elle
a vomi plusieurs fois, par manque de laboratoires spécialisés, il m’était
impossible d’analyser ces vomissements (mousse blanche, eau, salive…).
Ses
épaules étaient comme relevés vers le haut, elle a noté qu’ils se relâchaient
vers le bas. Elle diminua de taille et se décontracta complètement.
Elle
a rêvé de deux êtres de la taille d’une poupée avec des yeux ronds, la moitié
inférieure en feu.
Elle
était allongée, yeux fermés, quand une voix de son intérieur lui dit :
Achour est entrain de dormir, tu prends le couteau et tu le tues, en lui
projetant une image dans son cerveau tel un film. Cette image c’est ce qu’elle
devait faire pour me tuer.
Elle
ne cessait de saliver, elle était obligée d’utiliser plusieurs mouchoirs pour
plusieurs jours.
Avant
de suivre ce traitement elle dormait les bras écartés. Après quelques jours du
traitement elle commença à dormir complètement décontractée.
Elle
m’a informé qu’elle sentait un corps sous forme d’une bille qui se déplace soit
dans son corps soit sous sa peau ou dans les artères, il se déplace le long de
tout son corps.
Quand
elle lit ou qu’elle écoute le Coran, ce corps se déplace tout le long de ses
jambes pour quitter son corps. Elle sent qu’une sorte d’aiguille pénètre dans
son corps à travers l’un des doigts ou des orteils surtout le matin, puis elle
se transforme en un corps qui se déplace dans la direction de sa tête. Il lui
provoque l’arrêt de la respiration, et par conséquent lui provoque des crises.
Les
résultats de la roqia commencent à se manifester :
-
Disparition
des maux de tête.
-
Lecture
facile et courante du Coran.
-
Son
corps était gonflé à première vue, on a noté que sa joue droite (la moitié du
visage) était devenue moins gonflée que la gauche (moitié gauche du visage).
-
Bras
droit léger.
-
Jambe
droite légère.
Elle
sent que la moitié de son corps (coté droit) est devenue plus légère au point
qu’elle peut sentir qu’il y a une différence net entre les deux moitiés.
-
Bras
gauche léger.
-
Jambe
gauche légère.
Durant
le traitement, elle était entrain de lire le Coran, quand elle s’est aperçue
qu’il y a une silhouette qui couvrait son corps, le nez plus large que le sien,
des yeux plus grands, des narines plus larges, une bouche large. C'est-à-dire que cette silhouette se superposait
avec son corps.
Cette
image lisait avec elle, et était plus rapide, elle l’a poussé à lire plus
rapidement et à tourner la page. Elle a résisté jusqu’à ce qu’elle ait terminé
la page. Quand elle tourna la page, une légère fumée sortait entre les pages.
Maintenant
ce corps étranger sous forme de bille, avec le temps ne pouvait atteindre ses
membres supérieurs et sa poitrine, il se déplace dans sa jambe gauche jusqu’à
la hanche et dans l’abdomen.
Avec
le temps, il ne pouvait plus monter dans son corps et sent sa présence dans son
pied gauche ou dans ses mains où les fourmillements se sont fait sentir
jusqu’aux derniers jours du traitement.
Elle
était entrain de lire le Coran quand elle sentait la présence d’une ombre qui
voulait l’étrangler, elle m’en a informa et continua à lire jusqu’à sa
disparition, c’était le dernier contact.
Je
lui ai refait la roqia, tous les symptômes ont disparu.
Son
corps a trouvé sa forme initiale (elle ignorait qu’elle était plus mince).
Alhamdou
lillah wa la hawla wa la qawata illa billah.
Durant
le traitement qui a duré un mois sans interruption, elle a eu cinq crises comme
suite :
-
Une
crise à minuit quand elle était entrain d’écouter le Coran, elle a perdu le
souffle, elle a crié et a demandé à me voir.
-
Une
crise le jour où une voix lui demanda d’ôter les écouteurs si non elle va avoir
une crise. Quand elle a continué à écouter le Coran, elle a perdu le souffle et
a eu une crise.
La
même voix lui demanda d’ôter les écouteurs, mais elle continua à écouter, de
nouveau elle a perdu le souffle, mais cette fois la crise était partielle au
niveau des mains.
A
la fin du traitement, elle a fait deux songes :
-
Elle a rêvé d’un nombre de huttes. Une femme de petite taille qui portait une
jupe, moitié nue, debout devant un puits. Ces huttes formaient une image délimitée
par une forêt et des voix qui lui disaient : Dis à Achour qu’il ne doit
pas croire que c’est facile !!
Avant
d’entamer ce traitement je n’avais aucune garantie qu’il va réussir et aboutir
à ces résultats grâce à Allah. Mais comme pour les cas ensorcelées auxquels je
demandais s’ils avaient fait des songes, sa mère a fait un songe : Elle
m’a vu en Kamis et pantalon vert (choses que je ne porte jamais), j’ai sorti ma
main de la poche du pantalon et je lui ai donné quelque chose. C’était la confirmation.
Durant
le traitement, et quand elle a remarqué que les résultats commencent à se
manifester, elle s’est acharnée sur le Coran au point qu’elle écoutait presque
sans arrêt et durant toute la journée et la nuit.
Ce
récit est un résumé de ce qu’elle a dû vivre pendant ce traitement et durant
les années qu’elle souffrait des crises sans que la médecine lui apportait une
quelconque aide. Seuls les gens qui vivent de telles situations peuvent
comprendre une telle souffrance.
Si
j’avais décidé de rendre publique ce cas, c’est parce que j’ai remarqué qu’il y
a une manipulation internationale sur tous les plans. L’industrie
pharmaceutique avec ses pseudo recherches désorientent les gens dans l’unique
but de les spolier.
Je
vais analyser ce cas et montrer à ceux qui veulent croire l’explication des
différents points.
La
première chose qu’on relève, c’est que cette personne n’a jamais eu de crises
avant l’âge de 26 ans. Elle a eu cette crise à l’improviste.
Quand
elle a senti qu’il y a une puissance en elle, c’était le Jinn qui l’a possédée
pour la première fois. C’était un Jinn disons de grande taille et très fort,
car son corps a changé de forme. Elle a senti ses épaules se relever, et son
corps se gonfler. Le jour de sa guérison elle a commencé à reprendre sa forme
initiale. Elle a perdu ce gonflement de ses muscles. Le Jinn était plus grand
de son corps, ce qui l’a poussé à sentir cet effet sur elle depuis la fermeture
de sa robe qui est devenue plus étroite au changement de sa forme physique.
Depuis
le Jinn était devenu le maître de son corps et de ses capacités mentales. Il faut une grande intelligence pour que la
personne possédée s’en rende compte. Car elle va être désorientée par son
entourage et surtout par les médecins. Etre possédé c’est perdre tout contrôle
de soi même. Le Jinn devient le maître. Mais quelque soit la possession et son
degré, l’homme va entrer en combat avec lui-même. Soit qu’il va céder, soit
qu’il va résister, et c’est là que tout commence. Mais tout se fait avec la permission de DIEU,
il y a un but bien précis derrière, car DIEU ne fait rien au hasard.
Je
reviendrai sur ce point quand j’essayerai d’expliquer la possession.
Comme
j’ai dit le Jinn était devenu le maitre du corps et du cerveau. Le corps du
Jinn occupe le corps de cette personne et le cerveau du Jinn devient le cerveau
de la personne possédée. Elle dit qu’elle peut se déplacer dans le noir, c’est
par ce qu’elle peut voir avec les yeux du Jinn et non par les siens. Les maux
de tête au point qu’elle ne peut pas marcher sous le soleil s’expliquent par le
fait que son système nerveux est touché et qu’elle ne supportait plus la
lumière ; il y a une grande pression sur son cerveau et l’énergie du corps
du Jinn influe sur la partie du cerveau qui contrôle sa vision. Le Jinn est là
d’une façon permanente à tout contrôler dans sa vie privée. Il lit ce qu’elle
lit et surtout désoriente ses idées.
Quand le Jinn se manifeste, elle fait des crises. Pour
expliquer la façon dont une personne fait des crises, il faut savoir comment le
Jinn se manifeste dans le corps de la personne possédée et comment il influe
sur le système nerveux. Pour cela il faut savoir de quoi est composé le Jinn et
comment peut il attaquer un corps humain et le posséder.
Quand le Jinn a su que c’est sa fin il a joué le tout
pour le tout et lui a demandé de me tuer. Il lui a projeté le scénario qu’elle
doit suivre. Quand elle a reçu cette ordre ou cette idée, je me rappelle elle
était allongée entrain de se reposer, elle a eu très peur, car c’est la première
fois qu’elle entend une voix en elle. En réalité le Jinn pensait à sa place
depuis le premier contact, mais elle l’ignorait.
Le jinn avec sa puissance, car le corps de cette
personne ne pouvait le contenir, a complètement déformé ce corps. C’est pour ça
que lorsque j’ai lu le Coran dans son oreille, elle n’a pas pu l’entendre, mais
elle a senti du vide dans son cerveau et dans son corps. Je me rappelle qu’elle
m’a dit qu’elle sentait que son corps est vide comme un tonneau.
Je dois confirmer ici que c’est très difficile de
convaincre un épileptique qu’il est possédé. Il m’a fallu du temps et une
insistance continue pour que cette personne ait pu être convaincue. Quand elle
a bu de l’eau dans laquelle j’ai lu du Coran, elle croyait que c’était
n’importe quelle eau. Elle était entrain de travailler, elle a prit l’eau et a
dit : voilà, il ne se passe rien. Elle a continué à travailler quand tout
d’un coup cette eau sort de sa bouche sans qu’elle s’en rende compte. Là, elle
a su qu’il y a quelque chose d’anormal. En réalité, le Jinn contrôlait son
corps à travers son cerveau, il n’a pas laissé l’eau passer dans son estomac,
il était assez fort pour la rejeter dehors.
Le Jinn est là pour la simple raison qu’elle était
ensorcelée. C’est la sorcellerie qui a permis au Jinn de rester et posséder ce
corps. Sans cette sorcellerie le Jinn ne pouvait la posséder ni même
l’approcher. Le Jinn ne supporte jamais tout ce qui est divin depuis le Coran
jusqu’à l’eau dans laquelle on lit le Coran.
Quand l’eau pénètre dans le corps elle réduit l’espace
occupé par le Jinn et il était obligé de se rétrécir. Le Jinn peut changer de
taille et prendre différentes formes.
Quand elle a entendu le Coran pour la première fois
devant la télé, puisque comme je l’ai dit elle ne pouvait pas l’écouter ou le
lire à cause des maux de sa tête, et surtout quand elle a commencé à faire ses
prière régulièrement surtout la prière du SOBH, le Jinn commençait à réagir.
Elle et le Jinn ne faisaient qu’une seule personne, mais avec le temps, la
prière en son temps exact et le fait qu’elle écoutait le Coran à la télé, le
Jinn a commencé à se manifester et ils sont devenus deux personnes ; le
Jinn ne supportait pas le Coran et exerce une pression sur le reste de son
corps, ce qui fait qu’elle sentait son corps devenir lourd et elle se fatiguait
toujours.
A remarquer qu’elle était très active avant. Elle
possède une grande énergie. Elle travaillait sans cesse et faisait de grands
efforts. En réalité cette énergie n’était pas la sienne, mais celle du Jinn.
C’est une sorte de dopage, mais terminé le travail la personne possédée tombe
dans une grande fatigue.
La chaleur qu’elle a senti sur tout son corps, c’était
une chaleur superficielle, elle la sent sur sa peau et non à l’intérieur de son
corps. Elle ne ressemble pas à la fièvre. Les gens ensorcelés sentent la même
chose soit sur leurs visages soit sur tout leur corps. Mais ils ne se rendent
pas compte.
Comme je vais en parler, l’eau et l’huile d’olives ont
une grande influence quand on lit le Coran dedans.
Comme il est connu le corps humain contient 70% d’eau.
Si une personne pèse 100 kg, alors 70 kg de ce corps c’est de l’eau. En plus de
ça, la quantité du sang dans ce même corps. Le sang irrigue toutes les parties
du corps, ce qui permet à chaque cellule de vivre. Tout le sang passe par un
seul point qui est le cœur. C’est grâce à la circulation du sang qu’on peut
atteindre tous les points du corps. Et c’est ce trajet que, justement, suit le
Jinn.
En réalité la présence du Jinn dans le corps, ou ce
qui lui permet de posséder le corps humain, c’est la présence d’une substance
chimique que l’être humain consomme sans se rendre compte. Il y a une réaction
chimique entre le Jinn et le corps humain grâce à ce produit ou matière.
Comment j’ai déduit ça. C’est à cause de ce que cette
personne a vomi. Après la roqia, et après avoir commencé à boire de l’eau et de
l’huile d’olives dans laquelle je lisais le Coran, cette personne a commencé à
saliver. La salive était très légère et secrétée par les glandes salivaires,
elle était en abondance. Comme j’ai dit,
elle était obligée d’utiliser plusieurs mouchoirs et un récipient pour pouvoir
y cracher. Puis ces crachats ont commencé à sortir de l’estomac sous forme de
filets. Et à chaque fois qu’elle écoutait le Coran, le débit de ces crachats
augmente. En plus de ça, elle vomissait de l’eau avec de la mousse blanche et
des liquides de différentes couleurs. A chaque fois qu’elle vomit, il y a une
partie de son corps qui devient légère, c'est-à-dire qu’elle sent qu’elle contrôle
cette partie de son corps et la différence se remarque nettement entre les
membres du corps. Je dis que telle ou telle partie a subi l’effet de la roqia.
Ce changement s’opérait sur le coté droit puis sur le coté gauche. Il y a une
différence nette. Elle sent que sa jambe devient légère, puis son bras, son
abdomen, son thorax et enfin le coté gauche de sa tête. Elle a senti que son
corps est divisé en deux. Le droit léger et le gauche toujours sous pression.
Avec le temps, la même chose s’est passée avec le coté gauche.
Le Jinn peut prendre les formes qu’il veut jusqu’au
point où il peut devenir une simple aiguille et pénétrer dans le corps humain.
Elle n’est pas la seule qui a fait cette remarque, mais d’autres ensorcelés que
j’ai suivi ont fait la même remarque. Le Jinn et d’après ça, il pénètre par les
doigts ou les phalanges par la voie des veines. Ensuite il suit la circulation
du sang en traversant le cœur pour enfin arriver là où le sang arrive,
c'est-à-dire le cerveau. Il navigue dans les artères comme tout corps dans le
sang.
Le produit qu’a consommé cette personne quitte le
corps chaque fois qu’elle vomit. Il quitte le sang, et chaque cellule du corps
se libère ce qui fait que le champ devant le Jinn se rétrécit et fait qu’il se
déplace dans des parties du corps et pas dans d’autres jusqu’à ce qu’il ne peut
plus se déplacer. Il y a toujours moyen de pénétrer dans le corps humain, et
même d’atteindre le cerveau, mais jamais d’y rester pour toujours.
Donc et comme j’ai dit, d’après ces remarques, ce qui
permet au Jinn de prendre possession d’un corps c’est bien un produit chimique.
Ce produit une fois avalé atteint toutes les parties du corps. Toutes les
cellules du corps sont atteintes. C’est grâce à l’eau et le sang que ce produit
permet au Jinn d’occuper le corps humain. C’est une pure réaction chimique
entre le corps humain et celui du Jinn grâce au produit en question.
La question reste posée : Quel est ce produit,
d’où vient-il, comment arrive-t-il jusqu’à la personne en question.
Si on prend en considération les statistiques de
l’OMS, il y a 50 million de personnes atteintes dans le monde. Et ces 50
millions sont répartis sur toute la planète et ne concerne pas un pays ou une
personne d’une telle ou telle couleur.
Il y a trois acteurs dans l’épilepsie : L’être
humain, le Jinn, le produit.
Le quatrième facteur c’est l’acteur principal.
C'est-à-dire celui qui prépare le produit, le transite. Quel est le moyen
utilisé pour le faire consommer à tout ce grand nombre.
L’acteur principal on peut le savoir grâce au rêve que
cette personne a fait. Ce rêve qui concernait la femme, la hutte et la forêt.
La description donnée ne peut être que
celle des habitants de l’Afrique noire. Et la sorcellerie utilisée, d’après mes
recherches, et je peux me tromper, c’est le Vaudou.
La forme du Jinn ou de l’esprit décrit par cette
personne prouve qu’il vient de l’Afrique noire.
Dans tous les cas épileptiques c’est le système
nerveux qui est atteint. Dans le cas actuel, les maux de tête qu’elle sent sont
dus à une grande pression exercée sur son cerveau. Ces maux ont disparu quand
le Jinn a quitté son corps et par conséquence il n’y a aucune pression sur son
cerveau, et le système nerveux revient à son état normal.
Le Jinn, en contrôlant le cerveau il contrôle tout le
corps. C’est grâce au cerveau qu’il exerce un contrôle sur le reste des
organes.
Le Jinn peut réduire sa taille contrairement à l’être
humain. Il se propage à travers tout le corps et occupe chaque cellule du corps
humain.
Le Jinn est allergique à tout ce qui est Coranique. A
commencer par l’écoute du Coran, à l’eau dans laquelle on lit le Coran ou
l’huile d’olives.
D’après les expériences sur les personnes ensorcelées
et sur cette personne aussi, il apparaît que le Jinn occupe la peau de l’être
humain. Quand on essuie la peau avec de l’huile d’olives, le Jinn quitte la
peau. Cette dernière devient libre et la personne concernée commence à suer
normalement.
La même chose arrive avec l’eau. Quand cette personne
a bu de l’eau le Jinn a refusé de la laisser passer dans l’estomac, ce qui a
fait qu’elle fût éjectée sur le champ. La présence de l’eau diminue l’espace du
corps occupé par le Jinn. C’est pour ça que certaines personnes utilisent l’eau
pour se soigner, mais en réalité c’est temporaire et les choses vont revenir à
leur point de départ avec la sortie de cette eau du corps. Même chose pour
l’huile d’olives.
Quand on lit le Coran dans l’eau, cette eau occupe 70%
de l’espace du corps humain. Et l’huile d’olives pénètre dans la peau. Il y a
même des gens ensorcelés dont la peau ne sue pas, mais quand ils commencent à
guérir ils observent que leur peau sue d’une façon anormale, alors qu’en
réalité les pores de leur peau étaient totalement bouchés. Là où il y a quelque chose de Coranique le Jinn
s’en éloigne, c’est le cas de l’eau et de l’huile.
Le Jinn ne quitte le corps que lorsque le produit
utilisé dans la sorcellerie quitte le corps. C’est le cas de cette personne.
Elle a passé des nuits blanches, elle a vomi plusieurs fois, différents liquides
de différentes couleurs. Et à chaque fois, une partie de son corps guérit et le
Jinn quitte cette partie, c’est pour ça qu’elle sent qu’elle devient plus
légère et que la forme de son corps change. Elle retrouve sa forme initiale.
La dernière chose qui guérit dans le corps c’est le
cerveau. Ce jour là, le Jinn quitte totalement le corps, et n’aura aucun
contrôle sur lui.
Les crises diminuent et deviennent partielles, elles
ne touchent qu’une partie du corps jusqu’au jour où le corps devient totalement
libre.
L’EEG établit par le médecin spécialiste est toujours
disponible. Il n’a rien décelé d’anormal, mais quand même il lui a prescrit des
médicaments.
Voilà un résumé de l’histoire d’une personne
épileptique qui est guérie avec la permission de DIEU.
L’épilepsie n’est pas toujours une maladie comme on
cherche à l’expliquer. Je vais essayer d’en parler et de faire la comparaison
entre l’épilepsie du point de vue religieux et du point de vue médical ou
scientifique.
Je viens de prouver par la guérison de ce cas que
l’épilepsie est due à la possession, c'est-à-dire à la sorcellerie, alors c’est
à la science de prouver qu’elle est purement médicale.
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