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mercredi 19 février 2014

Cas épileptique guéri...





Je vais me baser sur ce cas soigné et guéri, avec la permission de Allah, par la roqia pour étudier l'épilepsie entre la possession et la maladie, ou la religion et la science. Même si certains s'octroient le nom de guérisseur, il reste que seul DIEU guérit et personne d'autre. L'homme ne fait que soigner, même s'il possède le pouvoir de guérison comme Jésus que le salut soit sur lui ou les autres prophètes, il ne doit pas se vanter, mais il dit toujours que ce qu'il fait ne le fait qu'avec la permission de DIEU, Il est l'unique guérisseur. Ce cas est musulman. Je n'ai jamais soigné de non musulmans. Peut être que j'aurai l'occasion de le faire, mais je ne peux rien confirmer à leur sujet pour l'instant. En attendant d'analyser ce cas et faire des déductions qui ne vont sûrement pas plaire à certains, surtout à l'industrie pharmaceutique, je vais raconter l'histoire de cette épileptique.

Elle décrit sa maladie comme suite :
Quand j’avais l’âge de 18 ans, étudiante en terminal, comme d’habitude en rentrant chez moi du lycée, j’étais assise devant ma table d’écolière pour faire mes devoirs quand tout d’un coup je n’arrivais plus à respirer, comme si quelqu’un essaye de m’étouffer. Les boutons de ma robe de jeans se serraient, j’ai senti une grande force à l’intérieur de mon corps et d’un seul coup j’ai renversé la table avec tout ce qu’il y a dessus. J’ai chuté par terre, j’ai senti comme si mes artères au niveau de ma nuque se bouchaient complètement. Une grande pression dans ma tête, tous les muscles de mon corps se contractaient et je refusais à ce qu’on me touche. C’était ma première crise. Après une courte durée j’ai senti mon corps se refroidir. Il a fallu plusieurs couvertures pour me réchauffer. Après quelque temps je me suis réveillée comme si rien ne s’était passé. Cet évènement est devenu quotidien à la même heure de la journée. J’ai constaté après que je ne supportais pas la lumière. Ma famille était obligée de m’évacuer aux urgences. Je pouvais entendre tout ce qui se passait autour de moi. Le médecin était abasourdi en appuyant sur mes yeux avec force sans que je réagisse. On m’a prescrit le traitement nécessaire, ces crises sont devenues fréquentes. Le premier généraliste m’a prescrit des médicaments en m’informant que c’était simplement de la fatigue. Depuis, ma vie a commencé à changer. Je préférais m’assoire dans le noir, je suis devenue comme un ivrogne en classe. Ces crises ont changé d’horaire pour survenir chaque vendredi à midi. J’ai perdu toute concentration. Des maux de tête permanents. A signaler qu’après chaque crise, quand je fermais les yeux je voyais comme des femmes qui voulaient me tuer. Je pouvais observer les formes dans le noir. J’ai perdu la notion de la peur. Je pouvais me déplacer dans le noir au point que je suis devenue le guide des étudiantes au niveau de l’école paramédicale. Malgré ces crises j’ai réussi à avoir mon bac. J’ai été orientée vers l’école paramédicale d’où j’ai obtenu mon diplôme d’assistante sociale.  J’ai eu des crises durant mon séjour au niveau de cette école, et une fois j’étais obligée de rester au lit pendant deux semaines pour prendre les médicaments que le médecin m’a prescrits. Depuis ces crises j’ai constaté que mes intestins se gonflaient aussi. Je pouvais savoir que je vais avoir une crise, car je devenais nerveuse et je commençais à perdre le souffle.
J’étais obligée de contacter un neurologue, un EEG qui n’a rien décelé d’anormal d’après le neurologue. Des médicaments qui m’ont permis de continuer mes études, mais qui n’ont rien apporter de positif à ma santé. Depuis ma première crise au deuxième trimestre de l’an 1998 je n’ai pas cessé de vomir. Maintenant nous sommes en été 2006. En tant que musulmane je faisais régulièrement mes prières, mais je n’arrivais pas à lire le Coran à cause des maux de tête. A noter que je refusais après de prendre les médicaments et les crises continuaient sans cesse.
A noter qu’avant d’avoir ma première crise, j’ai prêté ma robe de jeans à l’une de mes amies étudiantes. Quand elle me la rendue après quelques jours, elle était lavée et repassée. Dès que je l’ai mise, mon comportement a brusquement changé.

Traitement :
Comme j’ai dit, nous sommes en été 2006. Cette personne a eu sa première crise en 1998.
Aujourd’hui, cette personne était assise devant la télé, entrain d’écouter la récitation du Coran, quand elle a commencé à sentir ses jambes devenir lourdes. Elle a eu du mal à se lever. Je lui ai conseillé d’arrêter de suivre les émissions coraniques en attendant que je m’assure de ce qu’il lui arrive.
Comme elle faisait partie du corps paramédical et par la nature de sa formation, son caractère, les examens médicaux et les confirmations des médecins qu’elle restera épileptique à vie, il était difficile de la convaincre de suivre un traitement que j’utilisais généralement pour personnes ensorcelées.
Dans le cas des personnes ensorcelées, j’utilisais de l’eau dans laquelle je lisais le Coran. Après maintes reprises, j’ai réussi à lui faire avaler un verre de cette eau. J’observais sa réaction, quand tout d’un coup l’eau fut éjectée. Elle commença à douter.
J’ai lu quelques versets en posant mes lèvres sur son oreille, elle commence à verser des larmes. Elle m’a informé qu’elle pleurait involontairement et qu’elle n’entendait pas le Coran. Elle sentait le vide dans sa tête. Elle sentait que son corps est vide. Elle accepta enfin que je lui fasse une Roqia.
Ma manière de faire la roqia consiste à ce que le patient s’allonge sur son dos, je m’assoie à la hauteur de sa tête, je pose ma main droite ou mes deux mains sur son front et je commence à lire le Coran.
Après avoir terminé de lire j’ai fait les observations suivantes :
1-    Fatigue totale du coté gauche du corps.
2-    Une chaleur superficielle le long de son dos et le reste du dessous de son corps.
3-    Fourmillements sur la peau au niveau du visage, la poitrine, les bras et le reste du corps.
4-    Elle m’a informé qu’elle a senti une silhouette qui recouvre son corps.
Elle présentait les mêmes symptômes des personnes ensorcelées.
Elle était obligée de prendre son congé pour se libérer complètement au traitement.
J’ai établi un programme qui consiste au début d’écouter le Coran, puisqu’elle ne pouvait pas lire à cause de ses maux de tête dont elle souffrait depuis le commencement de cette maladie en 1998.
Après quelques jours les maux de tête commençaient à disparaître, et elle pouvait lire le Coran.
En plus de la lecture, elle se basait sur l’audio. Elle ne buvait que de l’eau dans laquelle je lisais le Coran.
Avant de dormir elle essuyait son corps avec de l’huile d’olives dans laquelle je lisais le Coran aussi. Elle en buvait une cuillère chaque matin à jeûne. J’utilisais le miel aussi dans lequel je lisais le Coran, elle prenait une cuillère chaque matin à jeûne et une autre le soir avant de dormir. En plus elle prenait une cuillère à café de l’huile de nigelle.
Ce traitement dura un mois sans interruption.
Elle sentait des fourmillements quelques fois sur sa peau, quand elle les lavait avec de l’eau dans laquelle je lisais le Coran ces fourmillements disparaissaient.
Elle a vomi plusieurs fois, par manque de laboratoires spécialisés, il m’était impossible d’analyser ces vomissements (mousse blanche, eau, salive…).
Ses épaules étaient comme relevés vers le haut, elle a noté qu’ils se relâchaient vers le bas. Elle diminua de taille et se décontracta complètement.
Elle a rêvé de deux êtres de la taille d’une poupée avec des yeux ronds, la moitié inférieure en feu.
Elle était allongée, yeux fermés, quand une voix de son intérieur lui dit : Achour est entrain de dormir, tu prends le couteau et tu le tues, en lui projetant une image dans son cerveau tel un film. Cette image c’est ce qu’elle devait faire pour me tuer.
Elle ne cessait de saliver, elle était obligée d’utiliser plusieurs mouchoirs pour plusieurs jours.
Avant de suivre ce traitement elle dormait les bras écartés. Après quelques jours du traitement elle commença à dormir complètement décontractée.
Elle m’a informé qu’elle sentait un corps sous forme d’une bille qui se déplace soit dans son corps soit sous sa peau ou dans les artères, il se déplace le long de tout son corps.
Quand elle lit ou qu’elle écoute le Coran, ce corps se déplace tout le long de ses jambes pour quitter son corps. Elle sent qu’une sorte d’aiguille pénètre dans son corps à travers l’un des doigts ou des orteils surtout le matin, puis elle se transforme en un corps qui se déplace dans la direction de sa tête. Il lui provoque l’arrêt de la respiration, et par conséquent lui provoque des crises.

Les résultats de la roqia commencent à se manifester :
-         Disparition des maux de tête.
-         Lecture facile et courante du Coran.
-         Son corps était gonflé à première vue, on a noté que sa joue droite (la moitié du visage) était devenue moins gonflée que la gauche (moitié gauche du visage).
-         Bras droit léger.
-         Jambe droite légère.
Elle sent que la moitié de son corps (coté droit) est devenue plus légère au point qu’elle peut sentir qu’il y a une différence net entre les deux moitiés.
-         Bras gauche léger.
-         Jambe gauche légère.
Durant le traitement, elle était entrain de lire le Coran, quand elle s’est aperçue qu’il y a une silhouette qui couvrait son corps, le nez plus large que le sien, des yeux plus grands, des narines plus larges, une bouche large.  C'est-à-dire que cette silhouette se superposait avec son corps.
Cette image lisait avec elle, et était plus rapide, elle l’a poussé à lire plus rapidement et à tourner la page. Elle a résisté jusqu’à ce qu’elle ait terminé la page. Quand elle tourna la page, une légère fumée sortait entre les pages.

Maintenant ce corps étranger sous forme de bille, avec le temps ne pouvait atteindre ses membres supérieurs et sa poitrine, il se déplace dans sa jambe gauche jusqu’à la hanche et dans l’abdomen.
Avec le temps, il ne pouvait plus monter dans son corps et sent sa présence dans son pied gauche ou dans ses mains où les fourmillements se sont fait sentir jusqu’aux derniers jours du traitement.
Elle était entrain de lire le Coran quand elle sentait la présence d’une ombre qui voulait l’étrangler, elle m’en a informa et continua à lire jusqu’à sa disparition, c’était le dernier contact.

Je lui ai refait la roqia, tous les symptômes ont disparu.
Son corps a trouvé sa forme initiale (elle ignorait qu’elle était plus mince).
Alhamdou lillah wa la hawla wa la qawata illa billah.

Durant le traitement qui a duré un mois sans interruption, elle a eu cinq crises comme suite :
-         Une crise à minuit quand elle était entrain d’écouter le Coran, elle a perdu le souffle, elle a crié et a demandé à me voir.
-         Une crise le jour où une voix lui demanda d’ôter les écouteurs si non elle va avoir une crise. Quand elle a continué à écouter le Coran, elle a perdu le souffle et a eu une crise.
La même voix lui demanda d’ôter les écouteurs, mais elle continua à écouter, de nouveau elle a perdu le souffle, mais cette fois la crise était partielle au niveau des mains.

A la fin du traitement, elle a fait deux songes :
- Elle a rêvé d’un nombre de huttes. Une femme de petite taille qui portait une jupe, moitié nue, debout devant un puits. Ces huttes formaient une image délimitée par une forêt et des voix qui lui disaient : Dis à Achour qu’il ne doit pas croire que c’est facile !!
Avant d’entamer ce traitement je n’avais aucune garantie qu’il va réussir et aboutir à ces résultats grâce à Allah. Mais comme pour les cas ensorcelées auxquels je demandais s’ils avaient fait des songes, sa mère a fait un songe : Elle m’a vu en Kamis et pantalon vert (choses que je ne porte jamais), j’ai sorti ma main de la poche du pantalon et je lui ai donné quelque chose. C’était la confirmation.
Durant le traitement, et quand elle a remarqué que les résultats commencent à se manifester, elle s’est acharnée sur le Coran au point qu’elle écoutait presque sans arrêt et durant toute la journée et la nuit.

Ce récit est un résumé de ce qu’elle a dû vivre pendant ce traitement et durant les années qu’elle souffrait des crises sans que la médecine lui apportait une quelconque aide. Seuls les gens qui vivent de telles situations peuvent comprendre une telle souffrance.
Si j’avais décidé de rendre publique ce cas, c’est parce que j’ai remarqué qu’il y a une manipulation internationale sur tous les plans. L’industrie pharmaceutique avec ses pseudo recherches désorientent les gens dans l’unique but de les spolier.

Je vais analyser ce cas et montrer à ceux qui veulent croire l’explication des différents points.

La première chose qu’on relève, c’est que cette personne n’a jamais eu de crises avant l’âge de 26 ans. Elle a eu cette crise à l’improviste.
Quand elle a senti qu’il y a une puissance en elle, c’était le Jinn qui l’a possédée pour la première fois. C’était un Jinn disons de grande taille et très fort, car son corps a changé de forme. Elle a senti ses épaules se relever, et son corps se gonfler. Le jour de sa guérison elle a commencé à reprendre sa forme initiale. Elle a perdu ce gonflement de ses muscles. Le Jinn était plus grand de son corps, ce qui l’a poussé à sentir cet effet sur elle depuis la fermeture de sa robe qui est devenue plus étroite au changement de sa forme physique.
Depuis le Jinn était devenu le maître de son corps et de ses capacités mentales.  Il faut une grande intelligence pour que la personne possédée s’en rende compte. Car elle va être désorientée par son entourage et surtout par les médecins. Etre possédé c’est perdre tout contrôle de soi même. Le Jinn devient le maître. Mais quelque soit la possession et son degré, l’homme va entrer en combat avec lui-même. Soit qu’il va céder, soit qu’il va résister, et c’est là que tout commence.  Mais tout se fait avec la permission de DIEU, il y a un but bien précis derrière, car DIEU ne fait rien au hasard.
Je reviendrai sur ce point quand j’essayerai d’expliquer la possession.
Comme j’ai dit le Jinn était devenu le maitre du corps et du cerveau. Le corps du Jinn occupe le corps de cette personne et le cerveau du Jinn devient le cerveau de la personne possédée. Elle dit qu’elle peut se déplacer dans le noir, c’est par ce qu’elle peut voir avec les yeux du Jinn et non par les siens. Les maux de tête au point qu’elle ne peut pas marcher sous le soleil s’expliquent par le fait que son système nerveux est touché et qu’elle ne supportait plus la lumière ; il y a une grande pression sur son cerveau et l’énergie du corps du Jinn influe sur la partie du cerveau qui contrôle sa vision. Le Jinn est là d’une façon permanente à tout contrôler dans sa vie privée. Il lit ce qu’elle lit et surtout désoriente ses idées.
Quand le Jinn se manifeste, elle fait des crises. Pour expliquer la façon dont une personne fait des crises, il faut savoir comment le Jinn se manifeste dans le corps de la personne possédée et comment il influe sur le système nerveux. Pour cela il faut savoir de quoi est composé le Jinn et comment peut il attaquer un corps humain et le posséder. 
Quand le Jinn a su que c’est sa fin il a joué le tout pour le tout et lui a demandé de me tuer. Il lui a projeté le scénario qu’elle doit suivre. Quand elle a reçu cette ordre ou cette idée, je me rappelle elle était allongée entrain de se reposer, elle a eu très peur, car c’est la première fois qu’elle entend une voix en elle. En réalité le Jinn pensait à sa place depuis le premier contact, mais elle l’ignorait.
Le jinn avec sa puissance, car le corps de cette personne ne pouvait le contenir, a complètement déformé ce corps. C’est pour ça que lorsque j’ai lu le Coran dans son oreille, elle n’a pas pu l’entendre, mais elle a senti du vide dans son cerveau et dans son corps. Je me rappelle qu’elle m’a dit qu’elle sentait que son corps est vide comme un tonneau.
Je dois confirmer ici que c’est très difficile de convaincre un épileptique qu’il est possédé. Il m’a fallu du temps et une insistance continue pour que cette personne ait pu être convaincue. Quand elle a bu de l’eau dans laquelle j’ai lu du Coran, elle croyait que c’était n’importe quelle eau. Elle était entrain de travailler, elle a prit l’eau et a dit : voilà, il ne se passe rien. Elle a continué à travailler quand tout d’un coup cette eau sort de sa bouche sans qu’elle s’en rende compte. Là, elle a su qu’il y a quelque chose d’anormal. En réalité, le Jinn contrôlait son corps à travers son cerveau, il n’a pas laissé l’eau passer dans son estomac, il était assez fort pour la rejeter dehors.
Le Jinn est là pour la simple raison qu’elle était ensorcelée. C’est la sorcellerie qui a permis au Jinn de rester et posséder ce corps. Sans cette sorcellerie le Jinn ne pouvait la posséder ni même l’approcher. Le Jinn ne supporte jamais tout ce qui est divin depuis le Coran jusqu’à l’eau dans laquelle on lit le Coran.
Quand l’eau pénètre dans le corps elle réduit l’espace occupé par le Jinn et il était obligé de se rétrécir. Le Jinn peut changer de taille et prendre différentes formes.
Quand elle a entendu le Coran pour la première fois devant la télé, puisque comme je l’ai dit elle ne pouvait pas l’écouter ou le lire à cause des maux de sa tête, et surtout quand elle a commencé à faire ses prière régulièrement surtout la prière du SOBH, le Jinn commençait à réagir. Elle et le Jinn ne faisaient qu’une seule personne, mais avec le temps, la prière en son temps exact et le fait qu’elle écoutait le Coran à la télé, le Jinn a commencé à se manifester et ils sont devenus deux personnes ; le Jinn ne supportait pas le Coran et exerce une pression sur le reste de son corps, ce qui fait qu’elle sentait son corps devenir lourd et elle se fatiguait toujours.
A remarquer qu’elle était très active avant. Elle possède une grande énergie. Elle travaillait sans cesse et faisait de grands efforts. En réalité cette énergie n’était pas la sienne, mais celle du Jinn. C’est une sorte de dopage, mais terminé le travail la personne possédée tombe dans une grande fatigue.
La chaleur qu’elle a senti sur tout son corps, c’était une chaleur superficielle, elle la sent sur sa peau et non à l’intérieur de son corps. Elle ne ressemble pas à la fièvre. Les gens ensorcelés sentent la même chose soit sur leurs visages soit sur tout leur corps. Mais ils ne se rendent pas compte.
Comme je vais en parler, l’eau et l’huile d’olives ont une grande influence quand on lit le Coran dedans.
Comme il est connu le corps humain contient 70% d’eau. Si une personne pèse 100 kg, alors 70 kg de ce corps c’est de l’eau. En plus de ça, la quantité du sang dans ce même corps. Le sang irrigue toutes les parties du corps, ce qui permet à chaque cellule de vivre. Tout le sang passe par un seul point qui est le cœur. C’est grâce à la circulation du sang qu’on peut atteindre tous les points du corps. Et c’est ce trajet que, justement, suit le Jinn.
En réalité la présence du Jinn dans le corps, ou ce qui lui permet de posséder le corps humain, c’est la présence d’une substance chimique que l’être humain consomme sans se rendre compte. Il y a une réaction chimique entre le Jinn et le corps humain grâce à ce produit ou matière.
Comment j’ai déduit ça. C’est à cause de ce que cette personne a vomi. Après la roqia, et après avoir commencé à boire de l’eau et de l’huile d’olives dans laquelle je lisais le Coran, cette personne a commencé à saliver. La salive était très légère et secrétée par les glandes salivaires, elle était en  abondance. Comme j’ai dit, elle était obligée d’utiliser plusieurs mouchoirs et un récipient pour pouvoir y cracher. Puis ces crachats ont commencé à sortir de l’estomac sous forme de filets. Et à chaque fois qu’elle écoutait le Coran, le débit de ces crachats augmente. En plus de ça, elle vomissait de l’eau avec de la mousse blanche et des liquides de différentes couleurs. A chaque fois qu’elle vomit, il y a une partie de son corps qui devient légère, c'est-à-dire qu’elle sent qu’elle contrôle cette partie de son corps et la différence se remarque nettement entre les membres du corps. Je dis que telle ou telle partie a subi l’effet de la roqia. Ce changement s’opérait sur le coté droit puis sur le coté gauche. Il y a une différence nette. Elle sent que sa jambe devient légère, puis son bras, son abdomen, son thorax et enfin le coté gauche de sa tête. Elle a senti que son corps est divisé en deux. Le droit léger et le gauche toujours sous pression. Avec le temps, la même chose s’est passée avec le coté gauche.
Le Jinn peut prendre les formes qu’il veut jusqu’au point où il peut devenir une simple aiguille et pénétrer dans le corps humain. Elle n’est pas la seule qui a fait cette remarque, mais d’autres ensorcelés que j’ai suivi ont fait la même remarque. Le Jinn et d’après ça, il pénètre par les doigts ou les phalanges par la voie des veines. Ensuite il suit la circulation du sang en traversant le cœur pour enfin arriver là où le sang arrive, c'est-à-dire le cerveau. Il navigue dans les artères comme tout corps dans le sang.
Le produit qu’a consommé cette personne quitte le corps chaque fois qu’elle vomit. Il quitte le sang, et chaque cellule du corps se libère ce qui fait que le champ devant le Jinn se rétrécit et fait qu’il se déplace dans des parties du corps et pas dans d’autres jusqu’à ce qu’il ne peut plus se déplacer. Il y a toujours moyen de pénétrer dans le corps humain, et même d’atteindre le cerveau, mais jamais d’y rester pour toujours.
Donc et comme j’ai dit, d’après ces remarques, ce qui permet au Jinn de prendre possession d’un corps c’est bien un produit chimique. Ce produit une fois avalé atteint toutes les parties du corps. Toutes les cellules du corps sont atteintes. C’est grâce à l’eau et le sang que ce produit permet au Jinn d’occuper le corps humain. C’est une pure réaction chimique entre le corps humain et celui du Jinn grâce au produit en question.
La question reste posée : Quel est ce produit, d’où vient-il, comment arrive-t-il jusqu’à la personne en question.
Si on prend en considération les statistiques de l’OMS, il y a 50 million de personnes atteintes dans le monde. Et ces 50 millions sont répartis sur toute la planète et ne concerne pas un pays ou une personne d’une telle ou telle couleur.
Il y a trois acteurs dans l’épilepsie : L’être humain, le Jinn, le produit.
Le quatrième facteur c’est l’acteur principal. C'est-à-dire celui qui prépare le produit, le transite. Quel est le moyen utilisé pour le faire consommer à tout ce grand nombre.
L’acteur principal on peut le savoir grâce au rêve que cette personne a fait. Ce rêve qui concernait la femme, la hutte et la forêt. La description donnée ne  peut être que celle des habitants de l’Afrique noire. Et la sorcellerie utilisée, d’après mes recherches, et je peux me tromper, c’est le Vaudou.
La forme du Jinn ou de l’esprit décrit par cette personne prouve qu’il vient de l’Afrique noire.
Dans tous les cas épileptiques c’est le système nerveux qui est atteint. Dans le cas actuel, les maux de tête qu’elle sent sont dus à une grande pression exercée sur son cerveau. Ces maux ont disparu quand le Jinn a quitté son corps et par conséquence il n’y a aucune pression sur son cerveau, et le système nerveux revient à son état normal.
Le Jinn, en contrôlant le cerveau il contrôle tout le corps. C’est grâce au cerveau qu’il exerce un contrôle sur le reste des organes.
Le Jinn peut réduire sa taille contrairement à l’être humain. Il se propage à travers tout le corps et occupe chaque cellule du corps humain.
Le Jinn est allergique à tout ce qui est Coranique. A commencer par l’écoute du Coran, à l’eau dans laquelle on lit le Coran ou l’huile d’olives.
D’après les expériences sur les personnes ensorcelées et sur cette personne aussi, il apparaît que le Jinn occupe la peau de l’être humain. Quand on essuie la peau avec de l’huile d’olives, le Jinn quitte la peau. Cette dernière devient libre et la personne concernée commence à suer normalement.
La même chose arrive avec l’eau. Quand cette personne a bu de l’eau le Jinn a refusé de la laisser passer dans l’estomac, ce qui a fait qu’elle fût éjectée sur le champ. La présence de l’eau diminue l’espace du corps occupé par le Jinn. C’est pour ça que certaines personnes utilisent l’eau pour se soigner, mais en réalité c’est temporaire et les choses vont revenir à leur point de départ avec la sortie de cette eau du corps. Même chose pour l’huile d’olives.  
Quand on lit le Coran dans l’eau, cette eau occupe 70% de l’espace du corps humain. Et l’huile d’olives pénètre dans la peau. Il y a même des gens ensorcelés dont la peau ne sue pas, mais quand ils commencent à guérir ils observent que leur peau sue d’une façon anormale, alors qu’en réalité les pores de leur peau étaient totalement bouchés.  Là où il y a quelque chose de Coranique le Jinn s’en éloigne, c’est le cas de l’eau et de l’huile.
Le Jinn ne quitte le corps que lorsque le produit utilisé dans la sorcellerie quitte le corps. C’est le cas de cette personne. Elle a passé des nuits blanches, elle a vomi plusieurs fois, différents liquides de différentes couleurs. Et à chaque fois, une partie de son corps guérit et le Jinn quitte cette partie, c’est pour ça qu’elle sent qu’elle devient plus légère et que la forme de son corps change. Elle retrouve sa forme initiale.
La dernière chose qui guérit dans le corps c’est le cerveau. Ce jour là, le Jinn quitte totalement le corps, et n’aura aucun contrôle sur lui.
Les crises diminuent et deviennent partielles, elles ne touchent qu’une partie du corps jusqu’au jour où le corps devient totalement libre.

L’EEG établit par le médecin spécialiste est toujours disponible. Il n’a rien décelé d’anormal, mais quand même il lui a prescrit des médicaments.

Voilà un résumé de l’histoire d’une personne épileptique qui est guérie avec la permission de DIEU.
L’épilepsie n’est pas toujours une maladie comme on cherche à l’expliquer. Je vais essayer d’en parler et de faire la comparaison entre l’épilepsie du point de vue religieux et du point de vue médical ou scientifique.
Je viens de prouver par la guérison de ce cas que l’épilepsie est due à la possession, c'est-à-dire à la sorcellerie, alors c’est à la science de prouver qu’elle est purement médicale.  
























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