Le suicide chez l'enfant...

La possession diabolique, la manipulation mentale et le suicide chez l’enfant : (actualisé 2007/2014)

Le suicide chez l’enfant est une réalité qu’on vit chaque mois et qui prend de l’ampleur en Algérie et dans le monde. Les statistiques peuvent exister et témoigner de ce phénomène. Ce qui nous intéresse ici c’est le phénomène lui-même. Pourquoi l’enfant se suicide. Et pourquoi certains enfants se suicident alors que d’autres non ; pourtant ils peuvent être exposés aux mêmes situations.

Généralement la manière de se suicider chez l’enfant, l’adolescent ou l’adulte est la même.

L’enfant sait qu’il y a quelque chose qui s’appelle la mort et sait aussi qu’il y a une manière de se donner la mort. Il l’a appris à l’école, dans des journaux, dans un film…etc.

C’est une idée comme une autre. Il l’a enregistrée dans sa mémoire. Des milliers d’enfants regardent le même film, enregistrent la même scène du suicide. Mais un seul ou quelques uns se donnent la mort.

Comment se déroule le suicide chez l’enfant :  

Tout commence par une idée. Quand l’enfant a appris cette idée, il n’était pas seul à l’apprendre. Il y avait un autre être avec lui. Il est en lui. Il utilise ses yeux pour regarder, ses oreilles pour écouter et se sert de toutes les facultés de l’enfant. Un enfant possédé n’est en réalité rien qu’un petit djinn. Comme je l’ai déjà dit, l’enfant vit dans un triangle : un coté qui représente sa famille, un deuxième qui représente l’école et un troisième qui représente la rue. Ce triangle représente son entourage. Soit qu’il est contrôlé par cet entourage ou abandonné. Quelque soit la surveillance exercée sur l’enfant, il peut se dérober. Le fait de ne pas être accompagné durant son déplacement de l’école vers son domicile est déjà un temps libre qu’il peut utiliser à sa guise. Regarder n’importe quel film sans l’autorisation de ses parents est une manière d’être libre et d’apprendre sans être contrôlé. Tout ce qu’apprend un enfant et est appris aussi par le djinn qui le possède. Durant son temps libre, l’enfant est sous contrôle complet du djinn. Il fait de lui tout ce qu’il veut. Quand un enfant est en compagnie d’un adulte sain d’esprit, il est généralement éveillé. Le djinn fait tout pour l’éloigner. L’isoler. C’est sa seule chance pour le contrôler et lui projeter l’idée ou l’image dans son cerveau. Il peut réussir son projet comme il peut échouer. L’enfant peut accepter l’idée comme il peut la rejeter. L’enfant qui se suicide est un enfant qui est tombé dans le piège du djinn.

Un enfant possédé est un enfant dont le cerveau est sous une pression énorme. En plus de l’idée qui se répète sans cesse dans sa tête, c’est son système nerveux qui est totalement déséquilibré.

A savoir que le djinn est comme l’être humain, il ne peut exercer cette pression en permanence, mais elle est limitée dans le temps. Cette pression peut durer un quart d’heure et disparaître comme elle peut durer une heure. Mais elle va disparaître et le système cérébral de l’enfant va retrouver son fonctionnement normal. L’enfant va retrouver son calme. Il suffit que la cause disparaisse ou qu’une personne engage une discussion quelconque pour que l’enfant s’éveille et que le phénomène s’arrête. Le phénomène dure tant que la cause existe. Même quand la cause disparaisse l’idée reste avec la présence du djinn et elle va refaire surface dès qu’une nouvelle cause apparaît. Le djinn manipulateur ne lâche pas et ne se fatigue pas. Il est en mission. Aider à détruire ou aider à construire. C’est durant ce las de temps que tout se joue. L’enfant peut passer à l’acte dès que l’idée commence à germer dans sa tête. Quand l’enfant passe à l’acte, en réalité c’est le djinn qui est passé à l’acte, l’enfant n’a rien entrepris. Il a été exécuté par le djinn et rien d’autre. Un enfant qui se suicide c’est un enfant qui a toujours était été sous l’emprise d’un diable.

Un enfant ne se suicide pas : Quelque soit l’explication que les psychologues essayent de donner à ce phénomène, elle n’est pas convaincante. La seule explication est que ces enfants qui se suicident sont possédés par des djinns. Ils sont sous le contrôle total de ces entités diaboliques et se sont eux qui les ont poussés au suicide.

Un enfant ne se suicide pas. Il n’a aucune raison pour se suicider. C’est un être qui n’a pas atteint l’étape ou l’âge de décider. Il vit la vie comme un film qu’il regarde. La pauvreté ou la richesse signifient peu de choses pour  lui. Tout a la même couleur.

Dire que telle ou telle chose était la cause du suicide de l’enfant est loin d’être la réalité. Le phénomène du suicide de l’enfant s’explique par le phénomène du comportement général dans la société.

Les psychologues ne donnent aucune explication à ce phénomène. Ils se contentent de citer la cause ou de jeter la responsabilité du phénomène sur le dos de la société. Ils sont incapables d’expliquer le phénomène lui-même, de répondre à la question pour la simple raison que les théories sur lesquelles ils se basent excluent totalement la religion. Les théories des psychologues dans ce cas ne font que de la diversion. Ils éloignent les gens de la réalité.  

Deux enfants qui vivent la même situation, mais l’un d’eux se suicident alors que l’autre non. Dans ce cas, il y a des facteurs qui entrent en jeu. A commencer par le facteur personnalité. Même s’il est un enfant, il a une personnalité quelconque. Les enfants de même âge ne se ressemblent pas. Ils sont différents. Ils ont des dons différents et une intelligence différente. Ils sont spirituellement différents. Ils reçoivent une éducation différente. Tous ces facteurs entrent en jeu quand l’idée et la cause du suicide se présentent.

Tous les cas du suicide enregistrés en Algérie sont dus à la possession diabolique et à la manipulation mentale par l’entité qui les possède. La cause du suicide n’a rien à voir avec le suicide de l’enfant. C’est une cause transformée en une idée par le djinn manipulateur qu’il projette dans l’esprit de l’enfant telle une publicité pour le pousser au suicide. 

La manipulation mentale chez l’enfant : ( actualisé 2007/2014) 

L’enfant, comme l’adulte d’ailleurs vit dans un triangle. Un coté représente la maison, un deuxième représente l’école et un troisième représente la rue. Pour pouvoir manipuler l’enfant, le djinn doit manipuler ces trois facteurs ; les parents, l’école et la rue. Et de cette façon, il va isoler l’enfant. L’enfant n’a aucun contrôle sur lui-même.

Le djinn n’a pas possédé la personne en question pour le plaisir. Il est là parce qu’il est en mission officielle. Les enfants comme les adultes sont différents. Mais tout dépend de la mission du djinn. Dans quel sens il doit orienter l’enfant. Naturellement, le djinn va rencontrer des difficultés. L’enfant comme j’ai dit est sous la protection de ses parents, de ses instituteurs etc. Il n’est pas totalement libre. Généralement un enfant musulman est un ennemi et il doit être orienté dans le sens négatif. Dès sa naissance, il commence à le manipuler et sa mère avec. Des milliers d’enfants sont épileptiques sans raison. Des centaines d’enfants fiévreux, diabétiques, etc..

Dans toutes les phases de la manipulation, le djinn commence par l’isolement de l’enfant.  Quand un enfant est occupé à parler ou à travailler, le djinn ne peut plus entrer en contact avec lui. Pour le manipuler, ou si on veut l’endoctriner pour l’orienter dans le sens qu’il veut, il doit l’isoler.  Un enfant musulman, malgré qu’il soit toujours un enfant innocent comme l’autre, il est complètement différent d’un enfant non musulman. Pour le djinn, l’enfant musulman est un ennemi. Le djinn reçoit l’ordre de s’en occuper dès sa naissance. C’est le cas de l’enfant non musulman aussi. Dans les deux cas l’enfant n’a aucun contrôle sur lui-même. Et par conséquence, il devient un djinn. Il va évoluer dans son milieu. Un enfant à Bamako et un autre aux USA en 2013 sont complètement différents. Ils peuvent être heureux ou malheureux dans leur milieu. Mais les moyens mis à la disposition de celui de Bamako et celui aux USA sont complètement différents et par conséquence la façon de les manipuler sera complètement différente. Pour le diable manipulateur, l’enfant musulman doit être indiscipliné, rebelle et désorganisé…dès sa naissance parce qu’il est considéré comme serviteur de DIEU et il sera un soldat de DIEU. L’enfant non musulman est considéré pour le diable manipulateur comme ami et doit être pris en charge pour devenir un soldat du diable. Mais on peut se demander pourquoi il y a des enfants non musulmans qui sont malades au même titre que les enfants musulmans. Bien sûr qu’il y a une réponse à ça, et on va l’aborder dès que possible. La manipulation doit être générale et à tous les niveaux si non le résultat ne sera pas satisfaisant et peut être l’inverse du but voulu. Avoir quatre enfants dans un couple rend la tache facile au djinn. Les parents ne peuvent exercer leur autorité sur tous ces enfants et par conséquence ils seront une proie facile. Les djinns comme les humains sont des êtres vivants, ils peuvent être des diables rebelles, des djinns croyants ou non croyants. Donc, leur croyance va influer sur le possédé pendant toute sa vie.

Sans la protection des adultes l’enfant devient un zombie. Il devient un élément destructeur. Il écrit sur le mur du bloc, casse un arbre, insulte un passant, rend la vie difficile à ses parents comme à ses instituteurs…etc. Le djinn en profite au maximum pour détruire l’entourage…

Alors que dans le cas de l’enfant d’un protégé de Satan, les choses se passent différemment. L’enfant est élevé comme un prince. Orienté vers tout ce qu’il doit apprendre et être préparé à la relève. Devenir président, être général ou autre.

Dans tout les cas, que ce soit pour un enfant, un adulte le diable ne peut faire que ce que DIEU lui permet de faire. Tout se fait avec la volonté de DIEU.

Il y a des facteurs purement personnels chez l’enfant qui entrent en jeu. En plus de l’entourage, du milieu en générale, il y a l’hérédité. 

L’intelligence, les dons… sont des facteurs qui entrent en jeu et déterminent dans quel sens le djinn peut orienter l’enfant et limitent cette orientation.

Sur le plan connaissance, l’enfant naisse sans aucune connaissance. Il va tout apprendre dans sa vie future. Se sont ses dons qui vont déterminer son avenir.

Ses parents vont jouer un rôle déterminant dans sa vie.

 D’après le Coran l’enfant est un être qui naisse sans aucun savoir (Sourat Annahl, les abeilles, verset 78 : Et Allah vous a fait sortir des ventres de vos mères, dénués de tout savoir, et vous a donné l’ouïe, les yeux et les cœurs (l’intelligence), afin que vous soyez reconnaissants. (78). Il va apprendre. Depuis sa naissance l’enfant est sous la protection d’un adulte jusqu’à un certain âge où il sera libéré pour suivre soit son instinct soit sa raison. Il vit dans un triangle. Un coté qui représente sa famille, un second qui représente l’école, et un troisième qui représente la famille. Le mot licite peut signifier quelque chose pour les croyants, alors qu’il n’a aucun sens pour les non croyants même s’il existe dans le dictionnaire qu’ils utilisent quotidiennement dans leur vie. Sachant que l’homme est créé de la terre, il mange la terre. Tout ce qu’il mange vient de la terre. Si les non croyants nient qu’ils sont nés de la terre, ils ne peuvent nier que tout ce qu’il mange vient de la terre. Et le plus important dans tout ça, c’est que le sperme et l’ovule viennent de la nourriture qu’ils mangent. Pour le croyant, ce qu’il mange ou l’argent qu’il gagne doit obligatoirement être licite. Parce que c’est de cet argent que va naître un enfant. 

S’il arrive qu’un père ou une mère mange quelque chose d’illicite, et que DIEU décide qu’il y aura un enfant de cette nourriture, automatiquement il y aura quelque chose d’illicite en lui et à ses parents que la responsabilité incombe. Le savoir ne se transfert pas des parents vers l’enfant, mais le don et le sang se transfèrent. En ce qui concerne les humains on ne parle pas de race, mais on parlera plutôt de lignée. Le problème du nouveau né commence dès que la nourriture entre dans la bouche de ses parents. Est-elle licite ou illicite, y a-t-il quelque chose d’illicite en elle. La terre va former la nourriture, elle va former le sperme et l’ovule, ils vont former une adhérence, et d’elle sera formé un embryon, puis des os, ils vont être revêtus de chair. Pour la génétique le mot licite ne veut rien dire. Il n’est écrit nul part dans les gènes des enfants qu’on découvre chaque jour qu’il soit un enfant né d’une nourriture licite ou illicite.

En plus de la manipulation de l’enfant par le djinn, il est manipulé par son milieu et surtout ses éducateurs, ses parents, ses instituteurs etc. Quand on sait que tout ce monde est manipulé à son tour, la manipulation devient totale et organisée. Elle devient une destruction massive de la société. Une destruction génétique, physique et spirituelle.

Comme j’ai dit, l’enfant n’est qu’un djinn qui se déplace. Il est sous l’emprise totale du djinn. Il est complètement possédé par ce dernier. Le djinn est en mission. Il doit se servir de cet enfant et l’orienter suivant les ordres qu’il a reçus. Quelque soit la manipulation, le djinn ne peut dépasser les capacités physiques et mentales de l’enfant. Le physique et les dons entrent en jeu et le djinn se voit limité dans son œuvre. Mais il fait le maximum pour se servir de ce l’enfant. Il peut le transformer en un élément destructeur.

L’isolement est le moyen d’endoctrinement et de manipulation de l’enfant. Le djinn profite du milieu dans lequel vit l’enfant pour acquérir les idées et essayer de les inculquer à l’enfant et les appliquer sur lui. La télévision, les collègues de l’enfant, la famille…sont toutes des sources pour le djinn.

La première chose que le djinn essaye de faire éviter à l’enfant est la religion. Il doit soit l’orienter vers une secte ou l’éloigner complètement de la religion mère. Tous les enfants quelque soit leur milieu, et par nature, s’orientent vers la religion et tout ce qui est spirituel. S’orientent vers les jeux et tout ce qui est violent.

Pour orienter un enfant dans un sens quelconque ou lui faire faire une chose, le djinn utilise la même stratégie que la publicité. La publicité montre un produit et répète la même image jusqu’à ce que la personne tombe dans le piège et l’achète. Le djinn aussi répète la même idée dans le cerveau de l’enfant jusqu’à ce que ce dernier l’applique. Il y a de simples idées que l’enfant exécute sans réfléchir et d’autres qui demandent des mois et des années pour qu’elles soient acceptées par l’enfant. Cette stratégie est employée avec les adolescents et les adultes aussi. Mais dans le cas de l’enfant les choses diffèrent.

Comme pour l’adulte, l’enfant ne s’aperçoit pas de la présence du djinn sauf dans des cas où le djinn se manifeste directement et dicte ses idées au lieu de jouer à l’enfant lui-même.

Le djinn ne dit pas à l’enfant suicide toi. Mais il lui montre soit une image qu’il projette dans l’esprit de l’enfant pour que ce dernier l’applique ou lui répète l’idée du suicide sans cesse et sans répit jusqu’à ce que l’enfant tombe dans le piège. Il ne lui dit pas : suicide toi par tel ou tel moyen. Mais, il pense à sa place : je vais me suicider…Le djinn profite de toute occasion pour pousser l’enfant au suicide. Echec scolaire, dispute avec le professeur, avec les parents…etc. En plus de l’idée, l’enfant sent une pression énorme sur son système nerveux et son corps. Seule sa sortie de l’isolement peut l’aider à s’en sortir. Dès le premier contact avec une personne de son milieu, l’enfant se réveille. Et dès qu’il est seul alors la manipulation recommence.

La manipulation à l’âge de l’enfant peut servir à créer un futur zombie. Les zombies ne manquent pas, il y a des millions sur terre. Mais il y a des zombies conçus spécialement pour des missions stratégiques. On peut citer comme exemple en Algérie le cas du Sous lieutenant Boumâarafi qui a assassiné le président algérien Mohammed Boudiaf en plein publique. Ou le cas de Merah en France dont on s’est servi pour assassiner des innocents et s’en servir pour des objectifs politiques. Ou le cas du zombie qui a servi pour l’assassinat de Kennedy le frère.

Dans le cas de Mohammed Merah en France, le témoignage de sa mère dont la vidéo est toujours sur youtube témoigne clairement que son fils lui disait qu’il entendait des voix lui parler. Les analystes n’ont jamais pris en considération ce témoignage puisqu’ils se réfèrent à leurs théories. En réalité Mohammed Merah était bien un zombie préparé il y a des années dans ce but précis.

La manipulation mentale chez l’enfant conduit à l’acte immédiat. Il suffit que la cause soit présente, un motif quelconque dont profite le djinn manipulateur pour que l’enfant subit un pression énorme sur son cerveau. L’enfant ne peut résister. Il est sous hypnose totale. Une seule idée tourne dans son esprit, celle dictée par le djinn telle une publicité répétée à la télé. Seule une intervention extérieure peut le sauver. Il suffit qu’une personne lui parle pour que cette pression disparaisse. Dans le cas où il reste isolé, l’idée peut conduire à des conséquences graves. C’est le cas du suicide par exemple.

Conséquences de la possession chez l’enfant :

La possession chez l’enfant provoque des maladies directes et indirectes. Comme elle conduit à des actes graves. Parmi ces maladies, je cite :

-         L’épilepsie.

-         Le diabète.

-         La fièvre.

-         L’hyperactivité.

-         Maladies du comportement.

-         Etc.

Parmi les actes graves que peut provoquer la possession :

-         Le suicide.

-         La faiblesse de la mémoire.

-         La drogue.

-         Le tabagisme…etc.

La possession et les maladies chroniques : (Actualisé : 2007/2014)

Quand une personne est possédée, elle est sous l’emprise totale du djinn. Ce dernier contrôle son cerveau et agit directement sur son comportement. Mais le possédé possède sa propre personnalité et sa propre pensée. Soit qu’il va marcher dans la voie tracée par le djinn ou résister.

Il résiste dans le cas où les idées du djinn sont en contradiction avec les siennes. Dans ce cas le djinn va se manifester indirectement et il agit sur le corps du possédé. En contrôlant son corps il contrôle automatiquement ses organes. Le djinn agit sur tout le corps, mais il agit principalement sur le système nerveux et la circulation du sang.

En agissant ainsi sur le corps humain le djinn provoque des symptômes qui apparaissent sur le possédé quelque soit son âge. Et ces symptômes ressemblent en grande partie aux symptômes des maladies ordinaires ce qui induit les médecins en erreur et ce qui explique leur incapacité à trouver des remèdes à ces maladies. Plusieurs maladies restent intraitables et sont classées comme maladies chroniques. Malgré ce classement, on continue à administrer des médicaments sous prétexte qu’ils protègent contre ces maladies même s’ils ne guérissent pas !

Le mot chronique suffit à lui seul de définir la maladie. Une maladie est dite chronique si elle persiste dans le temps. Ces maladies réapparaissent quelque soit la durée. Ces maladies existaient depuis l’existence de l’être humain.

Les maladies chroniques ne sont pas toutes provoquées par la possession. Mais il y a d’autres maladies chroniques qui sont provoquées indirectement par la possession.

Quand on parle de ces maladies, on lie le sujet directement avec le médicament et l’assurance maladie. D’un coté on appelle ces maladies chroniques et d’un autre on administre des médicaments qui ne guérissent pas. Dans tous les cas il y a un seul gagnant et c’est l’industrie pharmaceutique. Il existe des maladies chroniques qui sont provoquées directement par la possession, et il y a en d’autres qui sont provoquées indirectement.

Parmi les maladies qui peuvent être aussi provoquées directement par la possession, on distingue :

-          L’épilepsie.

-          L’hyperactivité.

-          La fièvre.

-          Les maux de tête.

-          La fatigue.

-          Trouble de la vision.

-          Palpitations.

-          Picotements ou pics sous le cœur.

-          Erections répétées.

-          Pensées incessantes.

-          Perte de mémoire.

-          Les maladies respiratoires.  

-          L’hypertension artérielle.

-          Le diabète.

-          La paraplégie.

-          L’hémiplégie.

-          La tétraplégie.

-          La maladie de Parkinson.

-          Le rhumatisme.

-          Les maladies cardio-vasculaires.

-          Les maladies psychiatriques.

-          AVC (accident vasculaire cérébral).

-          Hernies

-          La migraine.

-          Les varices.

-          La perte de poids.

-          Les maladies des intestins.

-          L’impuissance sexuelle partielle ou totale.

Parmi les maladies qui sont provoquées indirectement par la possession, on distingue celles provoquées par :

-          L’alcoolisme.

-          Le tabagisme.

-          La drogue.

-          Le cancer du au tabagisme.

-          …etc.

La possession peut provoquer des comportements qui peuvent induire les scientifiques et les médecins ainsi que la population en erreur :

-          Le choc.

-          La peur et la crainte maladive.

-          Le suicide.

-          Pleurs continus chez l’enfant ou le nourrisson.

-          Les troubles mentaux.

-          La mort fœtale.

-          La stérilité.

-          Le tabagisme, l’alcoolisme et la drogue.

-          L’homosexualité passive ou active.

-          La prostitution.

 Etc.

La manipulation mentale et la résistance chez le possédé :

La manipulation mentale et la résistance chez le possédé :

Comme je l’ai dit, la manipulation mentale se fait à tous les âges et aux deux sexes. Elle se fait au niveau des idées. Tout se joue au niveau du système cérébral. Il y a deux âges pendant lesquelles le djinn peut ne pas rencontrer aucune résistance de la part du possédé, l’enfance et l’adolescence. Et il y a une catégorie de personnes qui peuvent ne pas présenter aucune résistance à cette manipulation et marchent dans la combine et ce sont les personnes dont les cœurs sont malades psychiquement. Il y a aussi les naïfs. La catégorie de personnes que le djinn ne peut jamais manipuler, ce sont les gens qui ont une protection divine.

Quand le djinn voudrait orienter une personne quelque soit son âge dans un sens voulu, il peut qu’il rencontre une certaine résistance de la part de cette personne parce que les idées de ce djinn sont en contradiction avec celles de cette personne, et de sa religion. Le djinn profite de l’enfant et de l’adolescent avant qu’il devienne adulte pour atteindre ses objectifs. Le milieu et le niveau de vie vont jouer un rôle aussi, comme d’autres facteurs. La perte de la raison chez le possédé est le moyen le plus rapide pour le manipuler. La drogue et l’alcool seront un moyen efficace pour s’emparer complètement des facultés du possédé. Avec les drogues fortes, le possédé sera à la merci du djinn pour de bon. Il sera un zombie.

Les idées du djinn entre en contradiction avec celles du possédé. Et ce dernier refuse de marcher dans la combine. Il veut fréquenter les femmes, mais le possédé refuse et montre de la résistance, boire l’alcool, regarder des films pornographiques…etc. Mais l’adolescent par exemple résiste.  Généralement les gens, surtout les musulmans et les croyants chrétiens et juifs parlent de waswas en arabe. C'est-à-dire que c’est le diable qui lui dicte des idées et essaye de l’induire en erreur. Alors qu’il n’en est rien. C’est vrai que c’est difficile de faire la différence. Mais il y a d’autres symptômes qui aident à faire la différence entre le diable accompagnateur (qarine en arabe) et le djinn qui possède.

Quand le djinn rencontre une résistance mentale de la part du possédé, il peut soit se manifester ou changer de tactique. Il va ordonner directement au possédé de faire telle ou telle chose. Ou continuer à se cacher ce qui va provoquer une certaine pression sur le système nerveux. C’est à ce moment qu’apparaissent les maladies chroniques.   

    

La manipulation mentale :

La manipulation mentale :

La manipulation mentale se fait par l’orientation du possédé dans un sens donné en manipulant ses idées ou en lui dictant ses idées sans qu’il s’en aperçoive. Elle peut être totale ou partielle. Elle peut être temporaire ou continue. Elle se fait à tous les âges et à toutes les personnes quelque soient leur degré d’études ou niveau scientifique ou religieux… En possédant une personne, le djinn ou le diable, s’empare de son système nerveux. Il contrôle totalement son cerveau. Mais quelque soit cette possession, il y a un point important qu’il faut signaler c’est l’incapacité du diable, djinn à savoir ce que l’homme pense. Cela nous mènera à parler du cerveau et du cœur.

Tant que vous n’avez pas écrit ce que vous pensez ou prononcer à haute voix ce que vous pensez, le diable qui vous possède ne saura rien.

 Pour savoir ce que vous pensez et surtout ce que vous projetez de faire, le djinn vous pousse à écrire ou à parler. Et pour le faire, il vous envoie une autre personne qui vous pousse à parler.

La règle dans la vie est ne jamais divulguer un secret ou un projet avant de l’avoir concrétisé même à sa propre femme, ses enfants ou sa mère... Dans le cas de la possession, le djinn ou diable va fermer les portes devant ce projet. Ou les ouvrir complètement. Même si on voudrait se rendre chez le coiffeur et qu’une personne demande où est ce que vous allez, la réponse doit être une autre.

La manière de penser est la même chez tous les humains. Les croyants savent que la pensée se fait dans le cœur, alors que les non croyants prétendent qu’elle se fait au niveau du cerveau. En réalité la fonction du cerveau est purement mécanique. Le cerveau ne fait que transformer la pensée du cœur en ordres mécaniques.

Généralement le possédé ne s’aperçoit pas qu’il est possédé sauf s’il a un comportement étrange ; pour la simple raison que le djinn ne lui dit pas fais telle ou telle chose, mais il pense à sa place. Et le possédé croit qu’il pense de lui-même. Posséder une personne c’est s’emparer de ses facultés mentales et physiques.  Le cerveau est en contact avec l’extérieur grâce aux yeux et aux oreilles, et le reste des sens. Le possédé possède quatre yeux et quatre oreilles. Les deux autres appartiennent au djinn. Il se sert des yeux et des oreilles du possédé à sa guise et peut devenir l’unique contrôleur de ces yeux et de ces oreilles. Le djinn oriente le possédé dans le sens qu’il veut en lui dictant ses idées.

Le djinn peut rencontrer une résistance de la part du possédé parce que les idées du djinn sont en contradiction avec celles du possédé et de ses principes. Ce qui l’oblige à changer de tactique.

Le djinn va manipuler l’homme d’après sa religion, ses maladies psychiques, son tempérament, son caractère, son intelligence…etc. Et son âge.  

LA POSSESSION :

Dans l’article précédent (histoire d’un épileptique et sa guérison), j’ai donné à sa fin une analyse des observations relevées durant sont traitement.

Le point important qu’on doit relever, c’est que cette personne ne prend pas de médicaments. Quand le médecin spécialiste lui a prescrit des psychotropes (alors que l’ECG n’a rien décelé d’anormal !), elle a refusé catégoriquement de les prendre. Elle a vécu avec des maux de têtes pendant des années au point qu’elle était incapable de marcher sous le soleil. Elle a toléré et supporté les crises…tout en sachant la pub qui va suivre dans la société, les difficultés quant au suivi de ses études pendant le lycée et l’université. Pourquoi ce point est aussi important. Pour plusieurs raisons.

La première c’est leur effet sur le système nerveux et méfaits secondaires ainsi que sur le corps, et la difficulté de s’en débarrasser. Mais la raison importante c’est la manipulation du djinn pendant le traitement. Quand la personne commence le traitement après la roqia, elle fera l’objet d’une grande manipulation mentale de la part du djinn. Dans le cas où elle aurait pris ces psychotropes, elle en prendra plus durant le traitement et au lieu de guérir son état pourrait s’aggraver. Cela nous mène à parler de la façon dont le djinn possède l’être humain.

La première chose à savoir, c’est que la possession se fait au niveau du cerveau et non au niveau des organes comme on peut le croire ou le prétendre. C’est au niveau du cerveau que le djinn possède l’être humain, car c’est le cerveau qui commande tous les organes du corps et c’est à partir du cerveau que le djinn manipule l’homme. La personne possédée ne se rend jamais compte qu’elle l’est puisque elle mène une vie normale. Le fait qu’on ne soit pas épileptique ne veut pas dire qu’on n’est pas possédée. Et même quand on l’est, on ne penserait pas qu’on est possédé, et c’est le cas des milliers d’épileptiques dans le monde. Il faut qu’une personne montre des signes anormaux pour qu’on l’accuse d’être possédée. Par exemple qu’elle parle une langue étrangère qu’elle n’a apprise.

Comme j’ai dit, la possession se fait au niveau du cerveau. Le djinn contrôle complètement le cerveau et profite de ses organes. Il utilise les yeux pour observer le plus normalement du monde. Les oreilles pour écouter ce que le possédé écoute et entend, et lui fait écouter ce qu’il veut. Il se sert de tous ses organes et agit sur eux à sa guise  sans que le possédé s’en aperçoive. Le plus grand problème c’est la manipulation mentale. C'est-à-dire au niveau des idées. Le djinn est là, il occupe le cerveau de l’homme. Il y séjourne à sa guise, ne se manifeste pas. Rien ne l’oblige. Le possédé mène une vie normale comme tout le monde. Rien d’anormal dans son comportement. Il ne s’aperçoit de rien pour la simple raison que le djinn ne lui ordonne pas de faire telle ou telle chose, mais il pense à sa place.  Quand un adolescent passe devant une fille, le djinn ne lui dit pas : regarde, cette fille est belle. Si non il va s’apercevoir qu’il y a une voix qui lui parle et il va douter de quelque chose. Mais le djinn dit : elle est belle ou quelque chose de ce genre de façon à ce que l’adolescent penserait que c’est son idée à lui, c’est lui qui a pensé ça.  C’est au niveau des idées que tout se passe. C’est ce que j’appelle la manipulation mentale. La possession ne se fait pas à un âge bien déterminé, mais elle se fait à n’importe quel âge. Le djinn peut posséder un bébé dès sa naissance. Dans le cas de l’épilepsie, il y a des enfants épileptiques et même des bébés ! Les scientifiques, bien sûr vont donner une explication à ça. Ils ont une explication à tout, mais n’arrivent pas à soigner !!

1)    La manipulation mentale :

La manipulation se fait suivant le besoin et les ordres reçus par le djinn. Il faut savoir que le djinn n’est pas indépendant dans sa manière d’agir. Il a une hiérarchie qui lui dicte la manière à suivre dans un but déterminé.

En général il y a deux sortes de manipulations destinées à deux sortes de personnes différentes suivant un seul critère : la religion. Le musulman et le non musulman.

La manipulation du musulman doit être généralement négative sauf exception dans un but déterminé. Au contraire la manipulation du non musulman doit être positive sauf exception.  

La manipulation mentale se fait suivant des critères : l’âge, le tempérament, le caractère, les maladies psychiques …etc.

En ce qui concerne l’âge : il y a différents âges. L’enfance, l’adolescence… et la vieillesse.

L’enfant, comme l’adulte d’ailleurs vit dans un triangle. Un coté représente la maison, un deuxième qui représente l’école et un troisième qui représente la rue. Pour pouvoir manipuler l’enfant, le djinn doit manipuler ces trois facteurs ; les parents, l’école et la rue. Et de cette façon, il va isoler l’enfant. L’enfant n’a aucun contrôle sur lui-même.

Le djinn n’a pas possédé la personne en question pour le plaisir. Il est là parce qu’il est en mission officielle. Les enfants comme les adultes, ils sont différents. Mais tout dépend de la mission du djinn. Dans quel sens il doit orienter l’enfant. Naturellement, le djinn va rencontrer des difficultés. L’enfant comme j’ai dit est sous la protection de ses parents, de ses instituteurs etc. Il n’est pas totalement libre. Généralement un enfant musulman est un ennemi et il doit être orienté dans le sens négatif. Dès sa naissance, il commence à le manipuler et sa mère avec. Des centaines d’enfants sont épileptiques sans raison. Des centaines d’enfants fiévreux ; diabétiques, etc. Et le plus connu et qui irrite la mère, c’est l’enfant qui crie sans raison et dont les médecins n’arrivent pas à diagnostiquer la cause.

Dans toutes les phases de la manipulation, le djinn commence par l’isolement de l’enfant ou de l’adulte.  Quand une personne est occupée à parler ou à travailler, le djinn ne peut plus entrer en contact avec lui. Pour le manipuler, ou si on veut l’endoctriner pour l’orienter dans le sens qu’il veut, il doit l’isoler.  Un enfant musulman, malgré qu’il soit toujours un enfant innocent comme l’autre, il est complètement différent d’un enfant non musulman. Pour le djinn, l’enfant musulman est un ennemi. Le djinn reçoit l’ordre de s’en occuper dès sa naissance. C’est le cas de l’enfant non musulman aussi. Dans les deux cas l’enfant n’a aucun contrôle sur lui-même. Et par conséquence, il devient un djinn. Il va évoluer dans son milieu. Un enfant à Bamako et un autre aux USA en 2013 sont complètement différents. Ils peuvent être heureux ou malheureux dans leur milieu. Mais les moyens mis à la disposition de celui de Bamako et celui aux USA sont complètement différents et par conséquence la façon de les manipuler sera complètement différente. Pour le diable manipulateur, l’enfant musulman doit être indiscipliné, rebel et désorganisé…dès sa naissance parce qu’il est considéré comme serviteur de DIEU et il sera un soldat de DIEU. L’enfant non musulman est considéré pour le diable manipulateur comme ami et doit être pris en charge pour devenir un soldat du diable. Mais on peut se demander pourquoi il y a des enfants non musulmans qui sont malades au même titre que les enfants musulmans. Bien sûr qu’il y a une réponse à ça, et on va l’aborder dès que possible. La manipulation doit être générale et à tous les niveaux si non le résultat ne sera pas satisfaisant et peut être l’inverse du but voulu. Avoir quatre enfants dans un couple rend la tache facile au djinn. Les parents ne peuvent exercer leur autorité sur tous ces enfants et par conséquence ils seront une proie facile. Les djinns comme les humains sont des êtres vivants, ils peuvent être des diables rebels, des djinns croyants ou non croyants. Donc, leur croyance va influer sur le possédé pendant toute sa vie.

Avant de parler de la constitution du djinn, on doit savoir qu’elles sont les conséquences de la possession ou de ses méfaits.

La première chose qui va être atteinte c’est la mémoire. Elle va devenir très faible. L’enfant comme l’adulte va remarquer qu’il oublie beaucoup. Il va perdre sa concentration.

Si c’est le cas pour un adulte, alors on peut imaginer l’état d’un enfant. Contrairement à l’enfant non musulman, l’enfant musulman qui n’est rien qu’un djinn, va subir toutes les mauvaises idées. Il aura un comportement d’un indiscipliné caractérisé. La première chose qu’on va relever chez lui c’est la violence, l’agressivité, la turbulence, la désorganisation, l’anarchie,  la vulgarité…etc.

Un enfant sous surveillance et un enfant abandonné ou libre dans ses actes subissent la manipulation différemment.

La manipulation d’une fille est différente de celle d’un garçon  vu la différence qui existe entre les deux sexes. Mais le but reste toujours le même.

A l’âge de l’adolescence, la manipulation change complètement étant donné que l’enfant a atteint la puberté et le coté sentimental l’emporte sur le raison. C’est un âge très dangereux dans la vie de l’enfant. L’adolescent musulman sera critiqué par son milieu d’après son comportement. Idem pour le non musulman. Le comportement d’un adolescent musulman qui consomme l’alcool apparaît anormal aux yeux des siens contrairement à celui d’un non musulman. Sauf cas rares, l’adolescent ne s’aperçoit de rien et soit qu’il continue dans la voie dictée par le djinn ou qu’il résiste.

C’est à ce stade que le djinn peut se manifester. S’il y a une résistance de la part de l’adolescent à suivre le djinn, il entre en conflit avec le djinn et ça peut avoir une répercussion sur le système nerveux de l’adolescent et par conséquent sur ses organes et son comportement extérieur.  

    

  

Cas épileptique guéri...

Je vais me baser sur ce cas soigné et guéri, avec la permission de Allah, par la roqia pour étudier l'épilepsie entre la possession et la maladie, ou la religion et la science. Même si certains s'octroient le nom de guérisseur, il reste que seul DIEU guérit et personne d'autre. L'homme ne fait que soigner, même s'il possède le pouvoir de guérison comme Jésus que le salut soit sur lui ou les autres prophètes, il ne doit pas se vanter, mais il dit toujours que ce qu'il fait ne le fait qu'avec la permission de DIEU, Il est l'unique guérisseur. Ce cas est musulman. Je n'ai jamais soigné de non musulmans. Peut être que j'aurai l'occasion de le faire, mais je ne peux rien confirmer à leur sujet pour l'instant. En attendant d'analyser ce cas et faire des déductions qui ne vont sûrement pas plaire à certains, surtout à l'industrie pharmaceutique, je vais raconter l'histoire de cette épileptique.

Elle décrit sa maladie comme suite :

Quand j’avais l’âge de 18 ans, étudiante en terminal, comme d’habitude en rentrant chez moi du lycée, j’étais assise devant ma table d’écolière pour faire mes devoirs quand tout d’un coup je n’arrivais plus à respirer, comme si quelqu’un essaye de m’étouffer. Les boutons de ma robe de jeans se serraient, j’ai senti une grande force à l’intérieur de mon corps et d’un seul coup j’ai renversé la table avec tout ce qu’il y a dessus. J’ai chuté par terre, j’ai senti comme si mes artères au niveau de ma nuque se bouchaient complètement. Une grande pression dans ma tête, tous les muscles de mon corps se contractaient et je refusais à ce qu’on me touche. C’était ma première crise. Après une courte durée j’ai senti mon corps se refroidir. Il a fallu plusieurs couvertures pour me réchauffer. Après quelque temps je me suis réveillée comme si rien ne s’était passé. Cet évènement est devenu quotidien à la même heure de la journée. J’ai constaté après que je ne supportais pas la lumière. Ma famille était obligée de m’évacuer aux urgences. Je pouvais entendre tout ce qui se passait autour de moi. Le médecin était abasourdi en appuyant sur mes yeux avec force sans que je réagisse. On m’a prescrit le traitement nécessaire, ces crises sont devenues fréquentes. Le premier généraliste m’a prescrit des médicaments en m’informant que c’était simplement de la fatigue. Depuis, ma vie a commencé à changer. Je préférais m’assoire dans le noir, je suis devenue comme un ivrogne en classe. Ces crises ont changé d’horaire pour survenir chaque vendredi à midi. J’ai perdu toute concentration. Des maux de tête permanents. A signaler qu’après chaque crise, quand je fermais les yeux je voyais comme des femmes qui voulaient me tuer. Je pouvais observer les formes dans le noir. J’ai perdu la notion de la peur. Je pouvais me déplacer dans le noir au point que je suis devenue le guide des étudiantes au niveau de l’école paramédicale. Malgré ces crises j’ai réussi à avoir mon bac. J’ai été orientée vers l’école paramédicale d’où j’ai obtenu mon diplôme d’assistante sociale.  J’ai eu des crises durant mon séjour au niveau de cette école, et une fois j’étais obligée de rester au lit pendant deux semaines pour prendre les médicaments que le médecin m’a prescrits. Depuis ces crises j’ai constaté que mes intestins se gonflaient aussi. Je pouvais savoir que je vais avoir une crise, car je devenais nerveuse et je commençais à perdre le souffle.

J’étais obligée de contacter un neurologue, un EEG qui n’a rien décelé d’anormal d’après le neurologue. Des médicaments qui m’ont permis de continuer mes études, mais qui n’ont rien apporter de positif à ma santé. Depuis ma première crise au deuxième trimestre de l’an 1998 je n’ai pas cessé de vomir. Maintenant nous sommes en été 2006. En tant que musulmane je faisais régulièrement mes prières, mais je n’arrivais pas à lire le Coran à cause des maux de tête. A noter que je refusais après de prendre les médicaments et les crises continuaient sans cesse.

A noter qu’avant d’avoir ma première crise, j’ai prêté ma robe de jeans à l’une de mes amies étudiantes. Quand elle me la rendue après quelques jours, elle était lavée et repassée. Dès que je l’ai mise, mon comportement a brusquement changé.

Traitement :

Comme j’ai dit, nous sommes en été 2006. Cette personne a eu sa première crise en 1998.

Aujourd’hui, cette personne était assise devant la télé, entrain d’écouter la récitation du Coran, quand elle a commencé à sentir ses jambes devenir lourdes. Elle a eu du mal à se lever. Je lui ai conseillé d’arrêter de suivre les émissions coraniques en attendant que je m’assure de ce qu’il lui arrive.

Comme elle faisait partie du corps paramédical et par la nature de sa formation, son caractère, les examens médicaux et les confirmations des médecins qu’elle restera épileptique à vie, il était difficile de la convaincre de suivre un traitement que j’utilisais généralement pour personnes ensorcelées.

Dans le cas des personnes ensorcelées, j’utilisais de l’eau dans laquelle je lisais le Coran. Après maintes reprises, j’ai réussi à lui faire avaler un verre de cette eau. J’observais sa réaction, quand tout d’un coup l’eau fut éjectée. Elle commença à douter.

J’ai lu quelques versets en posant mes lèvres sur son oreille, elle commence à verser des larmes. Elle m’a informé qu’elle pleurait involontairement et qu’elle n’entendait pas le Coran. Elle sentait le vide dans sa tête. Elle sentait que son corps est vide. Elle accepta enfin que je lui fasse une Roqia.

Ma manière de faire la roqia consiste à ce que le patient s’allonge sur son dos, je m’assoie à la hauteur de sa tête, je pose ma main droite ou mes deux mains sur son front et je commence à lire le Coran.

Après avoir terminé de lire j’ai fait les observations suivantes :

1-    Fatigue totale du coté gauche du corps.

2-    Une chaleur superficielle le long de son dos et le reste du dessous de son corps.

3-    Fourmillements sur la peau au niveau du visage, la poitrine, les bras et le reste du corps.

4-    Elle m’a informé qu’elle a senti une silhouette qui recouvre son corps.

Elle présentait les mêmes symptômes des personnes ensorcelées.

Elle était obligée de prendre son congé pour se libérer complètement au traitement.

J’ai établi un programme qui consiste au début d’écouter le Coran, puisqu’elle ne pouvait pas lire à cause de ses maux de tête dont elle souffrait depuis le commencement de cette maladie en 1998.

Après quelques jours les maux de tête commençaient à disparaître, et elle pouvait lire le Coran.

En plus de la lecture, elle se basait sur l’audio. Elle ne buvait que de l’eau dans laquelle je lisais le Coran.

Avant de dormir elle essuyait son corps avec de l’huile d’olives dans laquelle je lisais le Coran aussi. Elle en buvait une cuillère chaque matin à jeûne. J’utilisais le miel aussi dans lequel je lisais le Coran, elle prenait une cuillère chaque matin à jeûne et une autre le soir avant de dormir. En plus elle prenait une cuillère à café de l’huile de nigelle.

Ce traitement dura un mois sans interruption.

Elle sentait des fourmillements quelques fois sur sa peau, quand elle les lavait avec de l’eau dans laquelle je lisais le Coran ces fourmillements disparaissaient.

Elle a vomi plusieurs fois, par manque de laboratoires spécialisés, il m’était impossible d’analyser ces vomissements (mousse blanche, eau, salive…).

Ses épaules étaient comme relevés vers le haut, elle a noté qu’ils se relâchaient vers le bas. Elle diminua de taille et se décontracta complètement.

Elle a rêvé de deux êtres de la taille d’une poupée avec des yeux ronds, la moitié inférieure en feu.

Elle était allongée, yeux fermés, quand une voix de son intérieur lui dit : Achour est entrain de dormir, tu prends le couteau et tu le tues, en lui projetant une image dans son cerveau tel un film. Cette image c’est ce qu’elle devait faire pour me tuer.

Elle ne cessait de saliver, elle était obligée d’utiliser plusieurs mouchoirs pour plusieurs jours.

Avant de suivre ce traitement elle dormait les bras écartés. Après quelques jours du traitement elle commença à dormir complètement décontractée.

Elle m’a informé qu’elle sentait un corps sous forme d’une bille qui se déplace soit dans son corps soit sous sa peau ou dans les artères, il se déplace le long de tout son corps.

Quand elle lit ou qu’elle écoute le Coran, ce corps se déplace tout le long de ses jambes pour quitter son corps. Elle sent qu’une sorte d’aiguille pénètre dans son corps à travers l’un des doigts ou des orteils surtout le matin, puis elle se transforme en un corps qui se déplace dans la direction de sa tête. Il lui provoque l’arrêt de la respiration, et par conséquent lui provoque des crises.

Les résultats de la roqia commencent à se manifester :

-         Disparition des maux de tête.

-         Lecture facile et courante du Coran.

-         Son corps était gonflé à première vue, on a noté que sa joue droite (la moitié du visage) était devenue moins gonflée que la gauche (moitié gauche du visage).

-         Bras droit léger.

-         Jambe droite légère.

Elle sent que la moitié de son corps (coté droit) est devenue plus légère au point qu’elle peut sentir qu’il y a une différence net entre les deux moitiés.

-         Bras gauche léger.

-         Jambe gauche légère.

Durant le traitement, elle était entrain de lire le Coran, quand elle s’est aperçue qu’il y a une silhouette qui couvrait son corps, le nez plus large que le sien, des yeux plus grands, des narines plus larges, une bouche large.  C'est-à-dire que cette silhouette se superposait avec son corps.

Cette image lisait avec elle, et était plus rapide, elle l’a poussé à lire plus rapidement et à tourner la page. Elle a résisté jusqu’à ce qu’elle ait terminé la page. Quand elle tourna la page, une légère fumée sortait entre les pages.

Maintenant ce corps étranger sous forme de bille, avec le temps ne pouvait atteindre ses membres supérieurs et sa poitrine, il se déplace dans sa jambe gauche jusqu’à la hanche et dans l’abdomen.

Avec le temps, il ne pouvait plus monter dans son corps et sent sa présence dans son pied gauche ou dans ses mains où les fourmillements se sont fait sentir jusqu’aux derniers jours du traitement.

Elle était entrain de lire le Coran quand elle sentait la présence d’une ombre qui voulait l’étrangler, elle m’en a informa et continua à lire jusqu’à sa disparition, c’était le dernier contact.

Je lui ai refait la roqia, tous les symptômes ont disparu.

Son corps a trouvé sa forme initiale (elle ignorait qu’elle était plus mince).

Alhamdou lillah wa la hawla wa la qawata illa billah.

Durant le traitement qui a duré un mois sans interruption, elle a eu cinq crises comme suite :

-         Une crise à minuit quand elle était entrain d’écouter le Coran, elle a perdu le souffle, elle a crié et a demandé à me voir.

-         Une crise le jour où une voix lui demanda d’ôter les écouteurs si non elle va avoir une crise. Quand elle a continué à écouter le Coran, elle a perdu le souffle et a eu une crise.

La même voix lui demanda d’ôter les écouteurs, mais elle continua à écouter, de nouveau elle a perdu le souffle, mais cette fois la crise était partielle au niveau des mains.

A la fin du traitement, elle a fait deux songes :

- Elle a rêvé d’un nombre de huttes. Une femme de petite taille qui portait une jupe, moitié nue, debout devant un puits. Ces huttes formaient une image délimitée par une forêt et des voix qui lui disaient : Dis à Achour qu’il ne doit pas croire que c’est facile !!

Avant d’entamer ce traitement je n’avais aucune garantie qu’il va réussir et aboutir à ces résultats grâce à Allah. Mais comme pour les cas ensorcelées auxquels je demandais s’ils avaient fait des songes, sa mère a fait un songe : Elle m’a vu en Kamis et pantalon vert (choses que je ne porte jamais), j’ai sorti ma main de la poche du pantalon et je lui ai donné quelque chose. C’était la confirmation.

Durant le traitement, et quand elle a remarqué que les résultats commencent à se manifester, elle s’est acharnée sur le Coran au point qu’elle écoutait presque sans arrêt et durant toute la journée et la nuit.

Ce récit est un résumé de ce qu’elle a dû vivre pendant ce traitement et durant les années qu’elle souffrait des crises sans que la médecine lui apportait une quelconque aide. Seuls les gens qui vivent de telles situations peuvent comprendre une telle souffrance.

Si j’avais décidé de rendre publique ce cas, c’est parce que j’ai remarqué qu’il y a une manipulation internationale sur tous les plans. L’industrie pharmaceutique avec ses pseudo recherches désorientent les gens dans l’unique but de les spolier.

Je vais analyser ce cas et montrer à ceux qui veulent croire l’explication des différents points.

La première chose qu’on relève, c’est que cette personne n’a jamais eu de crises avant l’âge de 26 ans. Elle a eu cette crise à l’improviste.

Quand elle a senti qu’il y a une puissance en elle, c’était le Jinn qui l’a possédée pour la première fois. C’était un Jinn disons de grande taille et très fort, car son corps a changé de forme. Elle a senti ses épaules se relever, et son corps se gonfler. Le jour de sa guérison elle a commencé à reprendre sa forme initiale. Elle a perdu ce gonflement de ses muscles. Le Jinn était plus grand de son corps, ce qui l’a poussé à sentir cet effet sur elle depuis la fermeture de sa robe qui est devenue plus étroite au changement de sa forme physique.

Depuis le Jinn était devenu le maître de son corps et de ses capacités mentales.  Il faut une grande intelligence pour que la personne possédée s’en rende compte. Car elle va être désorientée par son entourage et surtout par les médecins. Etre possédé c’est perdre tout contrôle de soi même. Le Jinn devient le maître. Mais quelque soit la possession et son degré, l’homme va entrer en combat avec lui-même. Soit qu’il va céder, soit qu’il va résister, et c’est là que tout commence.  Mais tout se fait avec la permission de DIEU, il y a un but bien précis derrière, car DIEU ne fait rien au hasard.

Je reviendrai sur ce point quand j’essayerai d’expliquer la possession.

Comme j’ai dit le Jinn était devenu le maitre du corps et du cerveau. Le corps du Jinn occupe le corps de cette personne et le cerveau du Jinn devient le cerveau de la personne possédée. Elle dit qu’elle peut se déplacer dans le noir, c’est par ce qu’elle peut voir avec les yeux du Jinn et non par les siens. Les maux de tête au point qu’elle ne peut pas marcher sous le soleil s’expliquent par le fait que son système nerveux est touché et qu’elle ne supportait plus la lumière ; il y a une grande pression sur son cerveau et l’énergie du corps du Jinn influe sur la partie du cerveau qui contrôle sa vision. Le Jinn est là d’une façon permanente à tout contrôler dans sa vie privée. Il lit ce qu’elle lit et surtout désoriente ses idées.

Quand le Jinn se manifeste, elle fait des crises. Pour expliquer la façon dont une personne fait des crises, il faut savoir comment le Jinn se manifeste dans le corps de la personne possédée et comment il influe sur le système nerveux. Pour cela il faut savoir de quoi est composé le Jinn et comment peut il attaquer un corps humain et le posséder. 

Quand le Jinn a su que c’est sa fin il a joué le tout pour le tout et lui a demandé de me tuer. Il lui a projeté le scénario qu’elle doit suivre. Quand elle a reçu cette ordre ou cette idée, je me rappelle elle était allongée entrain de se reposer, elle a eu très peur, car c’est la première fois qu’elle entend une voix en elle. En réalité le Jinn pensait à sa place depuis le premier contact, mais elle l’ignorait.

Le jinn avec sa puissance, car le corps de cette personne ne pouvait le contenir, a complètement déformé ce corps. C’est pour ça que lorsque j’ai lu le Coran dans son oreille, elle n’a pas pu l’entendre, mais elle a senti du vide dans son cerveau et dans son corps. Je me rappelle qu’elle m’a dit qu’elle sentait que son corps est vide comme un tonneau.

Je dois confirmer ici que c’est très difficile de convaincre un épileptique qu’il est possédé. Il m’a fallu du temps et une insistance continue pour que cette personne ait pu être convaincue. Quand elle a bu de l’eau dans laquelle j’ai lu du Coran, elle croyait que c’était n’importe quelle eau. Elle était entrain de travailler, elle a prit l’eau et a dit : voilà, il ne se passe rien. Elle a continué à travailler quand tout d’un coup cette eau sort de sa bouche sans qu’elle s’en rende compte. Là, elle a su qu’il y a quelque chose d’anormal. En réalité, le Jinn contrôlait son corps à travers son cerveau, il n’a pas laissé l’eau passer dans son estomac, il était assez fort pour la rejeter dehors.

Le Jinn est là pour la simple raison qu’elle était ensorcelée. C’est la sorcellerie qui a permis au Jinn de rester et posséder ce corps. Sans cette sorcellerie le Jinn ne pouvait la posséder ni même l’approcher. Le Jinn ne supporte jamais tout ce qui est divin depuis le Coran jusqu’à l’eau dans laquelle on lit le Coran.

Quand l’eau pénètre dans le corps elle réduit l’espace occupé par le Jinn et il était obligé de se rétrécir. Le Jinn peut changer de taille et prendre différentes formes.

Quand elle a entendu le Coran pour la première fois devant la télé, puisque comme je l’ai dit elle ne pouvait pas l’écouter ou le lire à cause des maux de sa tête, et surtout quand elle a commencé à faire ses prière régulièrement surtout la prière du SOBH, le Jinn commençait à réagir. Elle et le Jinn ne faisaient qu’une seule personne, mais avec le temps, la prière en son temps exact et le fait qu’elle écoutait le Coran à la télé, le Jinn a commencé à se manifester et ils sont devenus deux personnes ; le Jinn ne supportait pas le Coran et exerce une pression sur le reste de son corps, ce qui fait qu’elle sentait son corps devenir lourd et elle se fatiguait toujours.

A remarquer qu’elle était très active avant. Elle possède une grande énergie. Elle travaillait sans cesse et faisait de grands efforts. En réalité cette énergie n’était pas la sienne, mais celle du Jinn. C’est une sorte de dopage, mais terminé le travail la personne possédée tombe dans une grande fatigue.

La chaleur qu’elle a senti sur tout son corps, c’était une chaleur superficielle, elle la sent sur sa peau et non à l’intérieur de son corps. Elle ne ressemble pas à la fièvre. Les gens ensorcelés sentent la même chose soit sur leurs visages soit sur tout leur corps. Mais ils ne se rendent pas compte.

Comme je vais en parler, l’eau et l’huile d’olives ont une grande influence quand on lit le Coran dedans.

Comme il est connu le corps humain contient 70% d’eau. Si une personne pèse 100 kg, alors 70 kg de ce corps c’est de l’eau. En plus de ça, la quantité du sang dans ce même corps. Le sang irrigue toutes les parties du corps, ce qui permet à chaque cellule de vivre. Tout le sang passe par un seul point qui est le cœur. C’est grâce à la circulation du sang qu’on peut atteindre tous les points du corps. Et c’est ce trajet que, justement, suit le Jinn.

En réalité la présence du Jinn dans le corps, ou ce qui lui permet de posséder le corps humain, c’est la présence d’une substance chimique que l’être humain consomme sans se rendre compte. Il y a une réaction chimique entre le Jinn et le corps humain grâce à ce produit ou matière.

Comment j’ai déduit ça. C’est à cause de ce que cette personne a vomi. Après la roqia, et après avoir commencé à boire de l’eau et de l’huile d’olives dans laquelle je lisais le Coran, cette personne a commencé à saliver. La salive était très légère et secrétée par les glandes salivaires, elle était en  abondance. Comme j’ai dit, elle était obligée d’utiliser plusieurs mouchoirs et un récipient pour pouvoir y cracher. Puis ces crachats ont commencé à sortir de l’estomac sous forme de filets. Et à chaque fois qu’elle écoutait le Coran, le débit de ces crachats augmente. En plus de ça, elle vomissait de l’eau avec de la mousse blanche et des liquides de différentes couleurs. A chaque fois qu’elle vomit, il y a une partie de son corps qui devient légère, c'est-à-dire qu’elle sent qu’elle contrôle cette partie de son corps et la différence se remarque nettement entre les membres du corps. Je dis que telle ou telle partie a subi l’effet de la roqia. Ce changement s’opérait sur le coté droit puis sur le coté gauche. Il y a une différence nette. Elle sent que sa jambe devient légère, puis son bras, son abdomen, son thorax et enfin le coté gauche de sa tête. Elle a senti que son corps est divisé en deux. Le droit léger et le gauche toujours sous pression. Avec le temps, la même chose s’est passée avec le coté gauche.

Le Jinn peut prendre les formes qu’il veut jusqu’au point où il peut devenir une simple aiguille et pénétrer dans le corps humain. Elle n’est pas la seule qui a fait cette remarque, mais d’autres ensorcelés que j’ai suivi ont fait la même remarque. Le Jinn et d’après ça, il pénètre par les doigts ou les phalanges par la voie des veines. Ensuite il suit la circulation du sang en traversant le cœur pour enfin arriver là où le sang arrive, c'est-à-dire le cerveau. Il navigue dans les artères comme tout corps dans le sang.

Le produit qu’a consommé cette personne quitte le corps chaque fois qu’elle vomit. Il quitte le sang, et chaque cellule du corps se libère ce qui fait que le champ devant le Jinn se rétrécit et fait qu’il se déplace dans des parties du corps et pas dans d’autres jusqu’à ce qu’il ne peut plus se déplacer. Il y a toujours moyen de pénétrer dans le corps humain, et même d’atteindre le cerveau, mais jamais d’y rester pour toujours.

Donc et comme j’ai dit, d’après ces remarques, ce qui permet au Jinn de prendre possession d’un corps c’est bien un produit chimique. Ce produit une fois avalé atteint toutes les parties du corps. Toutes les cellules du corps sont atteintes. C’est grâce à l’eau et le sang que ce produit permet au Jinn d’occuper le corps humain. C’est une pure réaction chimique entre le corps humain et celui du Jinn grâce au produit en question.

La question reste posée : Quel est ce produit, d’où vient-il, comment arrive-t-il jusqu’à la personne en question.

Si on prend en considération les statistiques de l’OMS, il y a 50 million de personnes atteintes dans le monde. Et ces 50 millions sont répartis sur toute la planète et ne concerne pas un pays ou une personne d’une telle ou telle couleur.

Il y a trois acteurs dans l’épilepsie : L’être humain, le Jinn, le produit.

Le quatrième facteur c’est l’acteur principal. C'est-à-dire celui qui prépare le produit, le transite. Quel est le moyen utilisé pour le faire consommer à tout ce grand nombre.

L’acteur principal on peut le savoir grâce au rêve que cette personne a fait. Ce rêve qui concernait la femme, la hutte et la forêt. La description donnée ne  peut être que celle des habitants de l’Afrique noire. Et la sorcellerie utilisée, d’après mes recherches, et je peux me tromper, c’est le Vaudou.

La forme du Jinn ou de l’esprit décrit par cette personne prouve qu’il vient de l’Afrique noire.

Dans tous les cas épileptiques c’est le système nerveux qui est atteint. Dans le cas actuel, les maux de tête qu’elle sent sont dus à une grande pression exercée sur son cerveau. Ces maux ont disparu quand le Jinn a quitté son corps et par conséquence il n’y a aucune pression sur son cerveau, et le système nerveux revient à son état normal.

Le Jinn, en contrôlant le cerveau il contrôle tout le corps. C’est grâce au cerveau qu’il exerce un contrôle sur le reste des organes.

Le Jinn peut réduire sa taille contrairement à l’être humain. Il se propage à travers tout le corps et occupe chaque cellule du corps humain.

Le Jinn est allergique à tout ce qui est Coranique. A commencer par l’écoute du Coran, à l’eau dans laquelle on lit le Coran ou l’huile d’olives.

D’après les expériences sur les personnes ensorcelées et sur cette personne aussi, il apparaît que le Jinn occupe la peau de l’être humain. Quand on essuie la peau avec de l’huile d’olives, le Jinn quitte la peau. Cette dernière devient libre et la personne concernée commence à suer normalement.

La même chose arrive avec l’eau. Quand cette personne a bu de l’eau le Jinn a refusé de la laisser passer dans l’estomac, ce qui a fait qu’elle fût éjectée sur le champ. La présence de l’eau diminue l’espace du corps occupé par le Jinn. C’est pour ça que certaines personnes utilisent l’eau pour se soigner, mais en réalité c’est temporaire et les choses vont revenir à leur point de départ avec la sortie de cette eau du corps. Même chose pour l’huile d’olives.  

Quand on lit le Coran dans l’eau, cette eau occupe 70% de l’espace du corps humain. Et l’huile d’olives pénètre dans la peau. Il y a même des gens ensorcelés dont la peau ne sue pas, mais quand ils commencent à guérir ils observent que leur peau sue d’une façon anormale, alors qu’en réalité les pores de leur peau étaient totalement bouchés.  Là où il y a quelque chose de Coranique le Jinn s’en éloigne, c’est le cas de l’eau et de l’huile.

Le Jinn ne quitte le corps que lorsque le produit utilisé dans la sorcellerie quitte le corps. C’est le cas de cette personne. Elle a passé des nuits blanches, elle a vomi plusieurs fois, différents liquides de différentes couleurs. Et à chaque fois, une partie de son corps guérit et le Jinn quitte cette partie, c’est pour ça qu’elle sent qu’elle devient plus légère et que la forme de son corps change. Elle retrouve sa forme initiale.

La dernière chose qui guérit dans le corps c’est le cerveau. Ce jour là, le Jinn quitte totalement le corps, et n’aura aucun contrôle sur lui.

Les crises diminuent et deviennent partielles, elles ne touchent qu’une partie du corps jusqu’au jour où le corps devient totalement libre.

L’EEG établit par le médecin spécialiste est toujours disponible. Il n’a rien décelé d’anormal, mais quand même il lui a prescrit des médicaments.

Voilà un résumé de l’histoire d’une personne épileptique qui est guérie avec la permission de DIEU.

L’épilepsie n’est pas toujours une maladie comme on cherche à l’expliquer. Je vais essayer d’en parler et de faire la comparaison entre l’épilepsie du point de vue religieux et du point de vue médical ou scientifique.

Je viens de prouver par la guérison de ce cas que l’épilepsie est due à la possession, c'est-à-dire à la sorcellerie, alors c’est à la science de prouver qu’elle est purement médicale.